J’aime le souvenir de ces époques… Dont Phoebus se plaisait à dorer… Alors l’homme et la femme en leur… Jouissaient sans mensonge et sans… Et, le ciel amoureux leur caressan…
Où je vais, d’où je viens. Pourquoi je suis trempée. Voyons, ça se voit bien. Il pleut. La pluie, c’est de la pluie
Un très vieux perroquet vint lui porter ses graines de tou… et le soleil entra dans sa prison…
De deux choses lune l’autre c’est le soleil les pauvres les travailleurs ne vo… leur soleil c’est la soif la pouss… et s’ils travaillent en plein sole…
Ô beaux yeux bruns, ô regards déto… Ô chauds soupirs, ô larmes épandue… Ô noires nuits vainement attendues… Ô jours luisants vainement retourn… Ô tristes plaints, ô désirs obstin…
Perrette sur sa tête ayant un Pot… Bien posé sur un coussinet, Prétendait arriver sans encombre à… Légère et court vêtue elle allait… Ayant mis ce jour-là, pour être pl…
II est de forts parfums pour qui… Est poreuse. On dirait qu’ils pén… En ouvrant un coffret venu de l’O… Dont la serrure grince et rechigne… Ou dans une maison déserte quelque…
C’est pas seulement ma voix qui ch… C’est l’autre voix, une foule de v… Voix d’aujourd’hui ou d’autrefois Des voix marrantes, ensoleillées Désespérées, émerveillées
C’était dans un quartier de la vil… Lumière Où il fait toujours noir où il n’y… Et l’hiver comme l’été là c’est to… Elle était dans l’escalier
Je veux te raconter, ô molle encha… Les diverses beautés qui parent ta… Je veux te peindre ta beauté, Où l’enfance s’allie à la maturité… Quand tu vas balayant l’air de ta…
Elle avait pris ce pli dans son âg… De venir dans ma chambre un peu ch… Je l’attendais ainsi qu’un rayon q… Elle entrait, et disait : Bonjour… Prenait ma plume, ouvrait mes livr…
Imaginez Diane en galant équipage… Parcourant les forêts ou battant l… Cheveux et gorge au vent, s’enivra… Superbe et défiant les meilleurs c… Avez-vous vu Théroigne, amante du…
Bizarre déité, brune comme les nui… Au parfum mélangé de musc et de ha… Oeuvre de quelque obi, le Faust d… Sorcière au flanc d’ébène, enfant… Je préfère au constance, à l’opium…
Sur le vieux banc qu’ombrage un ve… Clydie aux bandeaux purs, Clydie… Dévide, pour broder des oiseaux et… Un écheveau de soie aux brillantes… Devant elle Palès tient, comme el…
Viens, mon beau chat, sur mon coeu… Retiens les griffes de ta patte, Et laisse-moi plonger dans tes bea… Mêlés de métal et d’agate. Lorsque mes doigts caressent à loi…
Du repos des humains implacable en… J’ai rendu mille amants envieux de… Je me repais de sang, et je trouve… Dans les bras de celui qui recherc…
Les poissons, les nageurs, les bat… Transforment l’eau. L’eau est douce et ne bouge Que pour ce qui la touche. Le poisson avance
Un jour que l’océan gonflé par la… Réunissant les eaux de ses fleuves… Fier de tout envahir, marchait à l… De ce vaste univers ; Une voix s’éleva du milieu des ora…
Vous avez empoigné les cries de la… Avec un tel poignet, qu’on vous eû… Et cet air de maîtrise et ce beau… Pour un jeune ruffian terrassant s… L’oeil clair et plein du feu de la…
Dans sa vie pré-natale une grand’mère de contes de fées l’appelait la petite Russe. Mais elle est née pour de vrai à Pékin en 1939, un an avant la naissance de Pierrot, son fils. Toute ...
Des oiseaux par milliers volent ve… Le gardien ne peut supporter des c… Tant pis je m’en fous ! Et il éteint tout Au loin un cargo fait naufrage un…
Je t’adore à l’égal de la voûte no… Ô vase de tristesse, ô grande taci… Et t’aime d’autant plus, belle, qu… Et que tu me parais, ornement de m… Plus ironiquement accumuler les li…
Oh, si j’étais en ce beau sein rav… De celui-là pour lequel vais moura… Si avec lui vivre le demeurant De mes courts jours ne m’empêchait… Si m’accolant me disait : chère A…
La princesse, dans un palais de ro… Sous les murmures, sous la mobile… Et de corail ébauche une parole ob… Quand les oiseaux perdus mordent s… Elle n’écoute ni les gouttes, dans…
Demain, dès l’aube, à l’heure où b… Je partirai. Vois-tu, je sais que… J’irai par la forêt, j’irai par la… Je ne puis demeurer loin de toi pl… Je marcherai les yeux fixés sur me…
Un oiseau siffle dans les branches Et sautille gai, plein d’espoir, Sur les herbes, de givre blanches, En bottes jaunes, en frac noir. C’est un merle, chanteur crédule,
Un calme enrayant marquera ce jour Et l’ombre des réverbères et des a… Tout se taira les plus silencieux… Enfin mourront les nourrissons bra… Les remorqueurs les locomotives le…
Tu mettrais l’univers entier dans… Femme impure ! L’ennui rend ton â… Pour exercer tes dents à ce jeu si… Il te faut chaque jour un coeur au… Tes yeux, illuminés ainsi que des…
C’est le chapitre .. la poésie co… Tu vois .. j ai des projets nouve… Rester ici .. où repartir ailleurs… Mais, c’est peut-être un brutal av… C est un rêve vague et lointain .
Le tendre et dangereux visage de l… C’était peut-être un archer avec s… Je ne sais plus Je ne sais rien Tout ce que je sais c’est qu’il m’…
Isur le perron de la mairie de la place Saint-Sulpice à Paris où tu passais très vite lorsque j’étais enfant riant dans les feuilles du vent Je te salue oiseau marrant oiseau si heureux...
Le sommeil a pris ton empreinte Et la colore de tes yeux.
Le monde rit, Le monde est heureux, content et j… La bouche s’ouvre, ouvre ses ailes… Les bouches jeunes retombent, Les bouches vieilles retombent.
Ah ! Jeannot je chante, je chante Pour t’avoir le même demain Car la vie a l’air trop méchante Sans la caresse de ta main.
La nature est tout ce qu’on voit, Tout ce qu’on veut, tout ce qu’on… Tout ce qu’on sait, tout ce qu’on… Tout ce que l’on sent en soi-même. Elle est belle pour qui la voit,
Entre tant de beautés que partout… Je contemple bien, amis, que le dé… Mais on voit scintiller en Lola d… Le charme inattendu d’un bijou ros…
Qu’une place soit faite à celui qu… Personnage ayant froid et privé de… Personnage tenté par le bruit d’un… Par le seuil éclairé d’une seule m… Et s’il reste recru d’angoisse et…
Sur un trône de paille un cheval couronné un âne le fait rire vêtu comme un jockey Devinettes aimables
Souvent, pour s’amuser, les hommes… Prennent des albatros, vastes oise… Qui suivent, indolents compagnons… Le navire glissant sur les gouffre… À peine les ont-ils déposés sur le…
Voici le soir charmant, ami du cri… II vient comme un complice, à pas… Se ferme lentement comme une grand… Et l’homme impatient se change en… Ô soir, aimable soir, désiré par c…
La cloche vide Les oiseaux morts Dans la maison où tout s’endort Neuf heures La terre se tient immobile
Si chétive, une haleine, une âme, L’orpheline du porte-clés Promenait dans la cour infâme L’innocence en cheveux bouclés. Elle avait cinq ans ; son épaule
Ah ! vous allez là-bas Oui Vous savez où c’est ? Non mais je connais Et vous emmenez tous ces bagages ?
L’amour est une science Et de toi j’ai tout appris Et j’écoute ton silence Que je n’avais pas compris. T’ai-je mal aimé cher ange !
Il y a paraît-il dans une roseraie une rose qu’on appelle Veuve inconsolable du regretté Président
Penché contre un grand fleuve, inf… M’arrachent à regret aux riants en… Âme aux pesantes mains, pleines de… Il faut que le ciel cède au glas d… Le coeur dur, l’oeil distrait des…
C’était, dans la nuit brune, Sur le clocher jauni, La lune Comme un point sur un i. Lune, quel esprit sombre
Horloge ! dieu sinistre, effrayant… Dont le doigt nous menace et nous… Les vibrantes Douleurs dans ton c… Se planteront bientôt comme dans u… Le Plaisir vaporeux fuira vers l’…
Un soir, l’âme du vin chantait dan… « Homme, vers toi je pousse, ô che… Sous ma prison de verre et mes cir… Un chant plein de lumière et de fr… Je sais combien il faut, sur la co…
Comme par miracle Des oranges aux branches d’un oran… Comme par miracle Un homme s’avance Mettant comme par miracle
Aidons-nous mutuellement, La charge des malheurs en sera plu… Le bien que l’on fait à son frère Pour le mal que l’on souffre est u… Confucius l’a dit ; suivons tous s…
La plaine un jour disait à la mont… “ Rien ne vient sur ton front des… Au poète, courbé sur sa lyre pensi… La foule aussi disait : " Rêveur,… La montagne en courroux répondit à…
A la grande nuit au petit jour au… Voilà ce qu’il lui chantait Son cœur à elle lui battait froid Je voudrais que tu n’aimes que moi Il lui disait qu’il était fou d’el…
S’il avait su quelle âme il a bles… Larmes du coeur, s’il avait pu vou… Ah ! si ce coeur, trop plein de sa… De l’exprimer eût gardé le pouvoir… Changer ainsi n’eût pas été possib…
Un homme aveo une boîte Entre au musée du Louvre Et s’assoit sur un banc Examinant la boîte
Devenir me Voici venir le temps d… Par la fenêtre fermée les oiseaux… comme les poissons d’aquarium. A la devanture d’une boutique une jolie femme sourit.
Elle fait au milieu du jour son pe… Car l’enfant a besoin du rêve plus… Cette terre est si laide alors qu’… L’enfant cherche à revoir Chérubi… Ses camarades, Puck, Titania, les…
Le sommeil a pris ton empreinte Et la colore de tes yeux
Sur la crête du toit il y a une armée immobile ou une rangée de cheminées sans armes. En bas, de rares éclaireurs montent la garde et poursuivent de leur falot l’ombre imprécise. Dans l...
J’implore ta pitié, Toi, l’unique… Du fond du gouffre obscur où mon c… C’est un univers morne à l’horizon… Où nagent dans la nuit l’horreur e… Un soleil sans chaleur plane au-de…