#ÉcrivainsFrançais
La teinte grise au cadran lumineux Au cadran sans aiguilles Au regard bleu Au bord de cette ville dont le clocher s’endort
Sa face écarlate illumine la chambre où il est seul. Seul avec son portrait qui bouge dans la glace. Est-ce bien lui ? Serait-ce l’œil d’un autre ? Il n’en aurait pas peur. Son pied man...
Une éclaircie avec du bleu dans le ciel ; dans la forêt des clairières toutes vertes ; mais dans la ville où le dessin nous emprisonne, l’arc de cercle du porche, les carrés des fenêtre...
Un regard ou une grimace Le soleil a lui Dans le miroir ce n’est plus le mê… Un nuage passe à cheval
Autour de la table Au bord de l’ombre Aucun d’eux ne remue beaucoup Et quelqu’un parle tout à coup Il fait froid dehors
Sur les mêmes couleurs le jour fil… La flèche d’or pur le traverse Sur l’arbre tendre et le rayon ame… Qui fond dans la forêt épaisse Au matin le ton est plus gris
Les rafles d’or sur le ravin des v… Quand les feuillets de la mer se r… Au bruit du vent Et des portées des voiles On commence à s’habituer à tous ce…
La lueur plus loin que la tête Le saut du cœur Sur la pente où l’air roule sa voi… Au carrefour près du talus une prière
Le soleil rôdait encore autour de… Quand on ouvrit la fenêtre Les ivrognes sont toujours là Mais la chanson qui montait à la n… Maintenant quelle voix m’appelle
Tout est calme Pendant l’hiver Au soir quand la lampe s’allume A travers la fenêtre où on la voit… Sur le tapis des mains qui dansent
La feuille vole cachant l’ombre Un jour de plus vient s’ajouter au… Les passants arrêtés à l’étage au-… Quelqu’un descend L’araignée monte
La fumée vient-elle de leurs chemi… Dans la rue où nos bras jettent un… Quand les toits se touchent on n’o…
Que veux-tu que je devienne Je me sens mourir Secours-moi Ah Paris... le
Près du chemin ouvert Et du bois sous la neige La pointe qui soulève la nuit La lampe veille Sur le visage blanc les paupières…
Dans la place qui reste là Entre quatre lignes Un carré où le blanc se joue La main qui soutenait ta joue Lune