Ô sourire alangui émerveillant mon âme,
tu combles mon désir ignorant l’inertie
et ton aspect charmant sans aucun mélodrame
ignore la douleur autant que le souci.
Lorsque tu m’effleures au milieu de la nuit,
un songe merveilleux inonde mon esprit
et un plaisir ailé devenant mon ami
traverse tout mon corps et disperse l’ennui.
Un souvenir précis caresse mon envie
et ouvre sa magie à mon songe endormi
et une joie sincère éloignant mon désert
rassénère le coeur d’un humble solitaire.
Mais quand tu disparais ainsi qu’un vif éclair,
je n’oublie rien de toi et de ta modestie
et un tendre soupir prolongeant le mystère
éloigne l’avanie et son goût délétère.