#XXeSiècle #ÉcrivainsFrançais
La fleur des Alpes disait au coquillage : « tu… Le coquillage disait à la mer : «… La mer disait au bateau : « tu tre… Le bateau disait au feu : « tu bri…
Nous irons au cinéma Rendre nos devoirs à Chariot Mais n’irons-nous pas sur l’eau Visiter Yokohama ?
Ce cœur qui haïssait la guerre voi… Ce cœur qui ne battait qu’au rythm… Voilà qu’il se gonfle et qu’il env… Et qu’il mène un tel bruit dans la… Et qu’il n’est pas possible que ce…
La côte se découpe en golfes où l’… Sonne, comme une trompe, aux murs… Jéricho, Un Jéricho de brume et flexible comme…
Rue Aubry-le-Boucher on peut te foutr… Bouziller tes tapins, tes tôles et… Où se faisaient trancher des sœurs… Portant bavette en deuil sous des…
Ils se rencontrent à minuit Ils s’embrassent en silence Ils s’étreignent jusqu’au matin. Tout le jour passe et la suivante… Et le jour suivant tout pareil
Les putains de Marseille ont des sœurs océanes Dont les baisers malsains moisiront votre chair. Dans leur taverne basse un orchestre tzigane Fait valser les péris au bruit lourd de la m...
Le trois nivôse an II de la République Roger se dressa sur son lit. Des têtes de nègres mugissaient sur les fleuves et l’on suspendait le clergé français par les pieds aux lampadaires d...
La bague au doigt que vous m’aviez… Je ne sais si je dois si je dois p… Dans la ville de Lille Ils s’étaient séparés
Le pylône met du noir à ses yeux L’Olympe et le paradis et les for… C’est comme les vieilles ampoules… On suce maintenant la poésie au té… de ces seins homicides et lumineux
Au temps des Tournesols au temps des Rosalies Pierre Jacques et
On n’inscrit pas d’initiales à la… Un éternel faucheur efface les tab… ville de gélatine complaisante aux… La fumée tient une grande place da… Et quelque tigre féroce a décalqué…
Aujourd’hui n’est pas mi-carême Ni mardi gras Pourtant la petite Gertnide met des bas bleus. Elle met des bas bleus sur ses jam…
Vous avez faim, vous avez soif, Rosemonde, c’est le vent d’est Qui vous décoiffe. Que ce vent emporte la peste Au fond du ciel et qu’elle y reste…
Quand j’ai perdu ma bien-aimée Elle était si fraîche que j’admira… Sous les voiles de deuil je perdis du même coup mes trois enfants