#XXeSiècle #ÉcrivainsFrançais
L’oiseau du Colorado Mange du miel et des gâteaux Du chocolat des mandarines Des dragées des nougatines
Se glisser dans ton ombre à la fav… Suivre tes pas, ton ombre à la fen… Cette ombre à la fenêtre c’est toi… N’ouvre pas cette fenêtre derrière… Ferme les yeux.
De bon cœur, la bonne aventure, Chante colombe, au fond du bois ; L’étoile baigne aux sources pures, Trois par trois sont partis les mo… De bon cœur, la bonne aventure.
Tu n’es ni beau ni riche, Ton amour est un faix, Par le mal qu’il me fait Ton amour m’est fétiche. Laisse se rassir la miche
L’arbre qui boit du vin aime qu’on… L’arbre qui boit du vin est un fam… L’arbre qui boit du vin ce matin nous a dit Pas besoin d’être devin
La route était aisée sous les arbr… II se rappelait que quelques mois… Il avait rencontré une jolie fille… Caroline Et marcher vite et encore plus vit…
Le jour est à sa place et coule à… A moins que l’être monte à travers… Superposés dans la mémoire et déle… La cervelle et le cœur de souvenir… Étés, puissants étés, votre nom mê…
Un jour après un jour, Une vague après une vague. Où vas-tu ? Où allez-vous ? Terre meurtrie par tant d’hommes e…
Le chat qui ne ressemble à rien Aujourd’hui ne va pas très bien. Il va visiter le Docteur qui lui ausculte le cœur. Votre cœur ne va pas bien
Maudit soit le père de l’épouse du forgeron qui forgea le fer de l… avec laquelle le bûcheron abattit… dans lequel on sculpta le lit
A Pantin la verdure a pu traîner ses… Tas de branques farcis de bobards… A force de calter s’atigent leurs… Et, pour roter pardon, ils n’auron…
La fleur des Alpes disait au coquillage : « tu… Le coquillage disait à la mer : «… La mer disait au bateau : « tu tre… Le bateau disait au feu : « tu bri…
Dans la nuit il y a naturellement… Les forêts s’y heurtent confusémen… Il y a toi. Dans la nuit il y a le pas du prom… Il y a toi.
Quand le train partira n’agite pas… Ni ton mouchoir, ni ton ombrelle, Mais emplis un verre de vin Et lance vers le train dont chante… La longue flamme du vin,
Arrête-toi ! Je suis ici, mais tant de nuit Nous sépare qu’en vain tu fatigues… Tu te tais car l’espace, où se dis… Nous-même nous dissout et nous sao…