#XXeSiècle #ÉcrivainsFrançais
Dans bien longtemps je suis passé par le château des feuilles Et loin les coquillages s’accrochaient désespérément aux rochers de la mer Ton souvenir ou plutôt ta tendre présence était ...
Pour mourir sans regret il faut êt… Pour mourir sans regret des désirs… Pour mourir sans chagrin pour mour… Faut-il détruire aussi les mains l… Celles-là qui sont nées choisies p…
Il était un grand nombre de fois Un homme qui aimait une femme Il était un grand nombre de fois Une femme qui aimait un homme Il était un grand nombre de fois
« Si elles tissent » les fils de leurs toiles doivent avoir l’épaisseur d’un câble. »—Ne bougeons pas—La porte est fermée. Leurs pattes molles molles et velues passent sous le chambranl...
Passez votre chemin ! Le soir lève son bâton blanc devan… Cornes des bœufs les soirs d’abond… l’épouvante sur le boulevard Passez votre chemin !
Ma sirène est bleue comme les vein… Pour l’instant elle dort sur la na… Et sur l’océan que je crée pour el… Elle peut visiter les grottes magi… Là des oiseaux très bêtes
Arrête-toi ! Je suis ici, mais tant de nuit Nous sépare qu’en vain tu fatigues… Tu te tais car l’espace, où se dis… Nous-même nous dissout et nous sao…
Il est nuit sois la flamme Et la rougeur qui colore les nuage… Bonjour monsieur Bonsoir Madame
Une ourse fit son entrée dans la v… Elle marchait pesamment Et des gouttes d’eau brillaient da… Comme des diamants. Elle marcha méconnue,
Un calme enrayant marquera ce jour Et l’ombre des réverbères et des a… Tout se taira les plus silencieux… Enfin mourront les nourrissons bra… Les remorqueurs les locomotives le…
Parce qu’il est bourré d’aubert et… L’auverpin mal lavé, le baveux des… Croit-il encor farcir ses boudins… Avec le sang des gars qu’on fusill… Paris ?
Nous irons au cinéma Rendre nos devoirs à Chariot Mais n’irons-nous pas sur l’eau Visiter Yokohama ?
Abougazelle élaromire Elaroseille a la mijelle a la mira… Mirabazcllc élagémi Rosetaraise et cœurmira Talatara miralabou
Vous avez faim, vous avez soif, Rosemonde, c’est le vent d’est Qui vous décoiffe. Que ce vent emporte la peste Au fond du ciel et qu’elle y reste…
Qui donc pourrait me voir Moi la flamme étrangère L’anémone du soir Fleurit sous me3 fougères O fougères mes mains