Poésies (1899)
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Las de l’amer repos où ma paresse… Une gloire pour qui jadis j’ai fui… Adorable des bois de roses sous l’… Naturel, et plus las sept fois du… De creuser par veillée une fosse n…
Au-dessus du bétail ahuri des huma… Bondissaient en clartés les sauvag… Des mendieurs d’azur le pied dans… Un noir vent sur leur marche éploy… La flagellait de froid tel jusque…
Ô laveuse aux mignardes poses, Qui sur ta lèvre où rit ton cœur As le sang embaumé des roses Au pied d’enfants, à l’œil moqueur… Sais-tu, vrai Dieu ! que ta grand…
Le soleil, sur le sable, ô lutteus… En l’or de tes cheveux chauffe un… Et, consumant l’encens sur ta joue… Il mêle avec les pleurs un breuvag… De ce blanc Flamboiement l’immuab…
Yeux, lacs avec ma simple ivresse… Autre que l’histrion qui du geste… Comme plume la suie ignoble des qu… J’ai troué dans le mur de toile un… De ma jambe et des bras limpide na…
Le silence déjà funèbre d’une moir… Dispose plus qu’un pli seul sur le… Que doit un tassement du principal… Précipiter avec le manque de mémoi… Notre si vieil ébat triomphal du g…
Toujours, n’importe le titre, Sans même s’enrhumer au Dégel, ce gai siffle-litre Crie un premier numéro.
M’introduire dans ton histoire C’est en héros effarouché S’il a du talon nu touché Quelque gazon de territoire À des glaciers attentatoire
Le noir roc courroucé que la bise… Ne s’arrêtera ni sous de pieuses m… Tâtant sa ressemblance avec les ma… Comme pour en bénir quelque funest… Ici presque toujours si le ramier…
L’ennui d’aller en visite Avec l’ail nous l’éloignons. L’élégie au pleur hésite Peu si je fends des oignons.
Petit air. Quelconque une solitude Sans le cygne ni le quai Mire sa désuétude Au regard que j’abdiquai
Quelle soie aux baumes de temps Où la Chimère s’exténue Vaut la torse et native nue Que, hors de ton miroir, tu tends… Les trous de drapeaux méditants
De frigides roses pour vivre Toutes la même interrompront Avec un blanc calice prompt Votre souffle devenu givre Mais que mon battement délivre
Chez celles dont l’amour est une o… Qui garde un vieux parfum sans le… J’ai cherché l’Infini qui fait qu… Et n’ai trouvé qu’un Gouffre enne… —L’Infini, rêve fier qui berce da…
Ô rêveuse, pour que je plonge Au pur délice sans chemin, Sache, par un subtil mensonge, Garder mon aile dans ta main. Une fraîcheur de crépuscule