Les Stalactites (1846)
#ÉcrivainsFrançais
Hélas ! devant le noir feuillage d… J’ai le cœur tout glacé dans ma ro… Et par mes yeux, troués d’ulcères… La pluie en gémissant pleure sur m… Entre mes pieds, jadis plus blancs…
Même en deuil pour cent trahisons, À vos soleils nous embrasons Nos cœurs meurtris, jeunes saisons… Ô premières roses trémières ! Ô premières amours ! Premières
Ô Seigneur ! que fais-tu des voix… Et des pleurs à genoux ! La nuit silencieuse avec son aile… A passé devant nous. Hier, nous étions tous réunis, jeu…
Dans le vieux cimetière, où cette… Sur l’aubépine en fleurs A versé, dans un flot que le solei… Des parfums et des pleurs ; Au coucher du soleil, dans le vieu…
L’été brille ; Phœbus perce de mi… En haine de sa sœur, les vierges d… Et dans leurs flancs brûlés de fla… Il allume le sang des jeunes chass… Dans les sillons rougis par les fe…
Je mourrai de mon désespoir Si vous n’y trouvez un remède. Exilé de votre boudoir, Je mourrai de mon désespoir. Pour votre toilette du soir
Près de la pierre close Sous laquelle repose Théophile Gautier, (Non tout entier, Car par son œuvre altière
Ô forêt adorée encor, Fontaineblea… Dis-moi, le gardes-tu sur le tronc… Ce nom que j’appelais mon espoir e… Et que j’avais gravé partout dans… Elle, enfant comme moi, nous allio…
Lorsque Mai rougissant rassérène… Et que sourit à tous la terre féco… Quand sur les verts gazons Chlori… Il fleurit dans le parc un arbre d… C’est un arbre tout rose, et sans…
L’Aurore enveloppait dans une cla… Le vallon gracieux que le Pénée a… Et les arbres touffus, et la brise… Se redisaient au loin d’harmonieux… Près du fleuve pleurait, parmi les…
Ma foi, vous avez bien raison, Vous pour qui tout est floraison Et violettes Parfumant les pieds de vos lys, De ne pas célébrer Phyllis
Allons, insoucieuse, ô ma folle co… Voici que l’hiver sombre attriste… Rentrons fouler tous deux les sple… C’est le moment de voir le feu bri… La bise vient ; j’ai peur de son b…
Sur les gazons verts, le soir nous… Au clair de la lune, au bruit des… Tout brûlant d’amour, le Ciel dit… Je ne puis descendre et baiser tes… Ni dans tes beaux yeux, par le soi…
Mon Loys, j’ai sous vos prunelles… Oublié, dans mon cœur troublé, Mon époux qui s’en est allé Pour combattre les infidèles. Quand nous le croirons loin encor,
Grâce aux Dalilas, Nos rimeurs sont las De gloire, Et, comme un hochet, Ont jeté l’archet