Les Cariatides (1842)
#ÉcrivainsFrançais
Puisse le Dieu vivant dessécher l… À qui m’a mise là vivante sous la… Et, comme un enfant porte un mante… M’a forcée à porter ces édifices l… Ces vieux murs en haillons, ces ma…
Camille, quand la Nuit t’endort s… Quand un rêve céleste emplit tes y… Quand tes regards, lassés des fati… Se reposent partout sur des routes… Dans le pays charmant des molles r…
Sur ton front brun comme la nuit, Maître, aucun fil d’argent ne luit… Et nul Décembre sacrilège, Ne met sa neige. Pourtant, dans ton labeur sacré,
Tenir la lumière asservie Lorsqu’elle voudrait s’envoler, Et voler A Dieu le secret de la vie ; Pour les mélanger sur des toiles
Je sais qu’elle est pareille aux… Elle a des rayons d’astre éclos so… Et je vois aux candeurs de son pie… Qu’il a marché longtemps sur les t… Sa bouche harmonieuse et de charme…
Ce que je veux rimer, c’est un con… Surtout n’y cherchez pas la trace… L’air est sans fioriture et le fon… D’abord j’ai de tout temps exécré… Puis je n’ai jamais eu que des goû…
L’ange aimé qu’ici-bas je révère e… Est une enfant voilée avec ses lon… À qui le ciel, pour qu’elle nous s… À donné le regard de la vierge Mar… Âme que l’azur expatrie
L’Aurore enveloppait dans une cla… Le vallon gracieux que le Pénée a… Et les arbres touffus, et la brise… Se redisaient au loin d’harmonieux… Près du fleuve pleurait, parmi les…
Quand les trois déités à la charma… Aux pieds du blond Pâris mirent l… Pallas dit à l’enfant : Si ton cœ… Je te réserverai de terribles expl… Junon leva la tête, et lui dit :…
Trois femmes à la tête blonde Pour une mission féconde Ont rayonné sur notre monde : Ève, la Joie et la Beauté ; Maria, la Virginité ;
Grâce aux Dalilas, Nos rimeurs sont las De gloire, Et, comme un hochet, Ont jeté l’archet
J’ai vu ces songeurs, ces poètes, Ces frères de l’aigle irrité, Tous montrant sur leurs nobles têt… Le signe de la Vérité. Et près d’eux, comme deux statues
Auguste, mon très bon, qui toujour… Pour les yeux en amande, Sais-tu qu’hier matin j’ai beaucou… Et que je me demande Pourquoi décidément ce monde où no…
Notre Eldorado, Mes amis, enfin doit éclore : Malgré mon bandeau, Je vois une nouvelle aurore. Aux cieux extasiés
Oui, vous m’offrez votre amitié, Pour tous les maux que je vous con… Mais quoi ! c’est trop peu de moit… Glycère, et je n’ai pas mon compte… Je soupire, et vous en retour