La comédie de la mort (1838)
#ÉcrivainsFrançais
Tandis qu’à leurs oeuvres perverse… Les hommes courent haletants, Mars qui rit, malgré les averses, Prépare en secret le printemps. Pour les petites pâquerettes,
Connaissez-vous dans le parc de V… Une Naïade, œil vert et sein gonf… La belle habite un château de roca… D’ordre toscan et tout vermiculé. Sur les coraux et sur les madrépor…
Lorsque l’on est monté jusqu’au ni… Et que l’on voit, sous soi, les pl… Se fondre et s’effacer au flanc de… Et, comme un lac, bleuir tout au f… On s’aperçoit enfin qu’on grimpera…
Comme un ange gardien prenez-moi s… Tendez, en souriant et daignant vo… À ma petite main votre main matern… Pour soutenir mes pas et me faire… Car Jésus le doux maître, aux cél…
La plaine un jour disait à la mont… “ Rien ne vient sur ton front des… Au poète, courbé sur sa lyre pensi… La foule aussi disait : " Rêveur,… La montagne en courroux répondit à…
Le ciel est noir, la terre est bla… —Cloches, carillonnez gaîment ! - Jésus est né ;– la Vierge penche Sur lui son visage charmant. Pas de courtines festonnées
Au long des murs, quand le soleil… Pour réchauffer mon vieux sang eng… Avec les chiens, auprès du lazarro… Je vais m’étendre à l’heure de mid… Je reste là sans rêve et sans pens…
Le jour tombait, une pâle nuée Du haut du ciel laissait nonchalam… Dans l’eau du fleuve à peine remué… Tremper les plis de son blanc vête… La nuit parut, la nuit morne et se…
J’aime à vous voir en vos cadres o… Portraits jaunis des belles du vie… Tenant en main des roses un peu pâ… Comme il convient à des fleurs de… Le vent d’hiver, en vous touchant…
Avec ses nerfs rompus, une main éc… Qui marche sans le corps dont elle… Crispe ses doigts crochus armés d’… Pour me saisir ; des feux pareils… Se croisent devant moi ; dans l’om…
Biorn, étrange cénobite, Sur le plateau d’un roc pelé, Hors du temps et du monde, habite La tour d’un burg démantelé. De sa porte l’esprit moderne
Je vis cloîtré dans mon âme profon… Sans rien d’humain, sans amour, sa… Seul comme un dieu, n’ayant d’égau… Que mes aïeux sous la tombe endorm… Hélas ! grandeur veut dire solitud…
A l’horizon monte une nue, Sculptant sa forme dans l’azur : On dirait une vierge nue Emergeant d’un lac au flot pur. Debout dans sa conque nacrée,
Ce n’est pas vous, non, madame, qu… Ni vous non plus, Juliette, ni vo… Ophélia, ni Béatrix, ni même Laure la blonde, avec ses grands y… Celle que j’aime, à présent, est e…
Adieu, puisqu’il le faut ; adieu,… Nuit d’argent, plus sereine et plu… Ton page noir est là, qui, le poin… Tient ton cheval en bride et t’att… Aurora, dans le ciel que brunissai…