"Les châtiments (1853)" Jersey, le 1er mars 1853.
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Oh ! Quand donc aurez-vous fini,… De jaser au milieu des branches et… Que nous nous expliquions et que j… Rouge-gorge, verdier, fauvette, to… Oiseaux, je vous entends, je vous…
Un ravin de ces monts coupe la noi… Comme si, voyageant du Caucase au… Quelqu’un de ces Titans que nul r… Avait fait passer sur leur tête La roue immense de son char.
Adieu, patrie ! L’onde est en furie. Adieu, patrie ! Azur ! Adieu, maison, treille au fruit mû…
Lorsque Abd-el-Kader dans sa geôl… Vit entrer l’homme aux yeux étroit… Que l’histoire appelle—ce drôle,— Et Troplong—Napoléon trois ; Qu’il vit venir, de sa croisée,
La salle est magnifique et la tabl… Toujours par quelque bout le banqu… Un magique banquet, sans cesse amo… Dans l’or et le cristal et l’argen… A cette table auguste, où siègent…
Vents, souffles du zénith obscur e… N’éveillerez-vous pas quelque imme… Là-haut, dans le ciel sombre, en f… Puisque deux nations vont en venir… Parce que les deux rois se sont pr…
Ami, vous revenez d’un de ces long… Qui nous font vieillir vite, et no… Au sortir du berceau. De tous les océans votre course a… Hélas ! et vous feriez une ceintur…
Oh ! laissez-moi ! c’est l’heure o… Cache un front inégal sous un cerc… L’heure où l’astre géant rougit et… Le grand bois jaunissant dore seul… On dirait qu’en ces jours où l’aut…
Une chouette était sur une porte c… Larve de l’ombre au toit des homme… La nature, qui mêle une âme aux ra… Qui remplit tout, et vit, à des de… Dans la bête sauvage et la bête de…
II. J’ai vu les coeurs peu rebelles, Les grands guerriers tourtereaux, Ce qu’on appelait les belles, Ce qu’on nommait les héros.
Nous emmenions en esclavage Cent chrétiens, pêcheurs de corail… Nous recrutions pour le sérail Dans tous les moûtiers du rivage. En mer, les hardis écumeurs !
Qui peut savoir combien de jalouse… De haines, par l’envie en tous lie… De sourds ressentiments, d’inimiti… D’orages à courber les plus sublim… Combien de passions, de fureurs, d…
J’errais. Que de charmantes chose… Il avait plu ; j’étais crotté ; Mais puisque j’ai vu tant de roses… Je dois dire la vérité. J’arrivai tout près d’une église,
III. J’ai vu comment, d’une patte, En ce siècle sans pareil, On épouse un cul-de-jatte, Et de l’autre, le soleil.
La musique est dans tout. Un hymn… Rumeur de la galère aux flancs lav… Bruits des villes, pitié de la sœu… Passion des amants jeunes et beaux… Des vieux époux usés ensemble par…