Toute la lyre (1888 et 1893)
#ÉcrivainsFrançais
Ô grande nation, vous avez à cette… Tandis qu’en bas dans l’ombre on s… Un empire qui fait sonner ses étri… Les éblouissements des panaches gu… Une cour où pourrait trôner le roi…
Lorsque j’étais encore un tout jeu… Et que j’allais entrer dans la lic… Sombre arène où plus d’un avant mo… L’âpre Muse aux regards mystérieu… —Tu pars ; mais quand le Cid se m…
France ! à l’heure où tu te proste… Le pied d’un tyran sur ton front, La voix sortira des cavernes Les enchaînés tressailleront. Le banni, debout sur la grève,
Seigneur, j’ai médité dans les heu… Et je me suis assis, pensif comme… Sur les sommets déserts, dans les… Où l’homme ne vient pas, où l’on v… J’ai de l’oiseau sinistre écouté l…
L’hiver blanchit le dur chemin Tes jours aux méchants sont en pro… La bise mord ta douce main ; La haine souffle sur ta joie. La neige emplit le noir sillon.
Laissons le glaive à Rome et le s… Ne faisons pas saisir, trop pressé… Par le spectre Brutus le brigand… Gardons ce misérable au sinistre a… Vous serez satisfaits, je vous le…
Oh ! vous dont le travail est joie… Vous qui n’avez pas d’autre proie Que les parfums, souffles du ciel, Vous qui fuyez quand vient décembr… Vous qui dérobez aux fleurs l’ambr…
Ceux qui vivent, ce sont ceux qui… Ceux dont un dessein ferme emplit… Ceux qui d’un haut. destin graviss… Ceux qui marchent pensifs, épris d… Ayant devant les yeux sans cesse,…
Ô mon enfant, tu vois, je me soume… Fais comme moi : vis du monde éloi… Heureuse ? non ; triomphante ? jam… —Résignée !— Sois bonne et douce, et lève un fr…
Voici que la saison décline, L’ombre grandit, l’azur décroît, Le vent fraîchit sur la colline, L’oiseau frissonne, l’herbe a froi… Août contre septembre lutte ;
Qui peut en ce moment où Dieu peu… Deviner Si c’est du côté sombre ou joyeux… Va tourner ? Qu’est-ce qui va sortir de ta main…
Aux environs de Paris. Midi chauffe et sèche la mousse ; Les champs sont pleins de tambouri… On voit dans une lueur douce Des groupes vagues et sereins.
Viens, mon George. Ah ! les fils… Ce sont de jeunes voix matinales q… Ils sont dans nos logis lugubres l… Des roses, du printemps, de la vie… Leur rire nous attire une larme au…
VII. Ô myrrhe ! ô cinname ! Nard cher aux époux ! Baume ! éther ! dictame ! De l’eau, de la flamme,
LA RAISON Moi, je me sauve. LE DROIT Adieu ! je m’en vais. L’HONNEUR