Toute la lyre (1888 et 1893)
#ÉcrivainsFrançais
La conscience humaine est morte ;… Sur elle il s’accroupit ; ce cadav… Par moments, gai, vainqueur, la pr… Il se retourne et donne à la morte… La prostitution du juge est la res…
Lorsque Abd-el-Kader dans sa geôl… Vit entrer l’homme aux yeux étroit… Que l’histoire appelle—ce drôle,— Et Troplong—Napoléon trois ; Qu’il vit venir, de sa croisée,
Qui do… Victor HUGO. Dans vos fêtes d’hiver, riches, he… Quand le bal tournoyant de ses feu… Quand partout à l’entour de vos pa…
C’est l’hiver. Ô villes folles, Dansez ! Dans le bal béant Tourbillonnent les paroles De la joie et du néant. L’homme flotte dans la voie
II. Mais qu’importe ! l’herbe est vert… Et c’est l’été ! Ne pensons, Jeanne qu’à l’ombre entrouverte, Qu’aux parfums et qu’aux chansons.
Nous errions, elle et moi, dans le… Elle est fière pour tous et pour m… Les deux et nos pensers rayonnaien… Oh ! connue aux lieux déserts les… Que de fleurs aux buissons, que de…
Il sied de ressembler aux dieux.… Dévore ses enfants ; ton Dieu, ma… Augure, ton Dieu ment ; uléma, to… La terre sous le sabre impur de M… Ton Dieu, Rome, est l’agneau, mai…
—Sentiers où l’herbe se balance, Vallons, coteaux, bois chevelus, Pourquoi ce deuil et ce silence ? —Celui qui venait ne vient plus. —Pourquoi personne à ta fenêtre,
Sa grandeur éblouit l’histoire. Quinze ans, il fut Le dieu que traînait la victoire Sur un affût ; L’Europe sous la loi guerrière
Ô terre, dans ta course immense et… L’Amérique, et l’Europe, et l’As… Se présentent aux feux du Soleil… Telles, l’une après l’autre, à l’h… Quatre filles, l’amour d’une maiso…
Polynice, Etéocle, Abel, Caïn !… Vieille querelle humaine ! échafau… Batailles ! ô drapeaux, ô linceuls… Ouverture hâtive et sombre des tom… Dieu puissant ! quand la mort sera…
Être riche n’est pas l’affaire ; Toute l’affaire est de charmer ; Du palais du grenier diffère En ce qu’on y sait mieux aimer. L’aube au seuil, un grabat dans l’…
S’il est un charmant gazon Que le ciel arrose, Où brille en toute saison Quelque fleur éclose, Où l’on cueille à pleine main
Hier, la nuit d’été, qui nous prêt… Etait digne de toi, tant elle avai… Tant son calme était frais ! tant… Tant elle éteignait bien ses rumeu… Tant elle répandait d’amoureuses r…
Il songe. Il s’est assis rêveur s… Entend-il murmurer la forêt vénéra… Regarde-t-il les fleurs ? regarde-… Il songe. La nature au front myst… Fait tout ce qu’elle peut pour apa…