#ÉcrivainsMartiniquais
je ne suis pas de ceux qui croient… pas de ceux qui luttent contre la… Vrai la puissance d’une cité n’est… Vrai la puissance d’un regard n’es… étouffée.
à petits pas de pluie de chenilles à petits pas de gorgée de lait à petits pas de roulements à bille… à petits pas de secousse sismique les ignames dans le sol marchent à…
là où l’aventure garde les yeux cl… là où les femmes rayonnent de lang… là où la mort est belle dans la ma… là où le souterrain cueille de sa… là où la merveille agile fait flèc…
à Pierre Loeb Mon cheval bute contre des crânes… mon cheval se cabre dans un orage…
la bonne nouvelle m’aura été porté… elles me disent que les phasmes se… dans les zones les plus sombres du… que le courant a été établi depuis… que la rouille est tombée en grêle…
Et voici par mon ouïe tramée de cr… et de fusées syncoper des laideurs… les cent pur-sang hennissant du so… parmi la stagnation. Ah ! je sens l’enfer des délices
Angoisse tu ne descendras pas tes… Peur dans l’écheveau fou je n’aura… en tremblant le fil rouge de mon sang de ma rai… le dur secret de mon corps de l’or…
nous montons nattes de pendus des canéfices (le bourreau aura oublié de faire… belles mains qui pendent des fougè… les balisiers se déchirent le cœur…
pensées éboulis d’abris rêves-boiteries désirs segments de sarments (une combinatoire qui s’excède) rien de tout cela n’a la force d’a…
toute chose plus belle la chancellerie du feu la chancell… une grande culbute de promontoires et d’étoiles une montagne qui se délite en
Cercle après cercle quand les déserts nous auront un à… miroirs vainement les nuits ayant sur la t… leur cou de chameau fatigué
Poings carnassiers teintés du ciel… torche parmi les fûts héréditaires œil sans rives sans mémoire dieu et que n’importunent vos fumé… par la mort et la fête
dans l’épice grand large il y a étale cette épaisseur comme… fragment la paroi qui patiente il y a cette verticale terrible do… vif
à Alioune Diop et je vis ce conte byzantin publié par les pluies
à larges coups d’épée de sisal de… à grands coups fauves de tes bras… à ton gré batéké de tes bras de re… de don qui frappent de clairvoyanc… les espaces aveugles baignés d’ois…