#ÉcrivainsMartiniquais
Zélande je me mets au diapason Zélande qui ne me donne jamais que… dans l’armoire de ma gorge tous le… j’avais pris les jours au piège d’… Zélande au fond du naufrage
j’ai de ma salive étroite tenu liq… l’empêchant de se perdre aux squam… j’ai chevauché sur des mers incert… les dauphins mémorants inattentif à tout
Le grand coup de machete du plaisi… de villes mises à sac le nouveau s… mer un goût d’ancêtre et cet oisea… la plus belle arche et qui est un… la plus belle arche et qui est un…
Il n’est poudre de pigment ni myrrhe odeur pensive ni délectation mais fleur de sang à fleur de peau carte de sang carte du sang
le surplus je l’avais distribué aux rides des… à l’acharnement des ravins les for… ? un signe
il m’arrive de le perdre des semaines c’est ma créature mais rebelle un petit mot couresse un petit mot crabe-c’est-ma faute
Pachira Peau-Rouge et garde empanachée de… ceiba athlète qui par mystère équi… savants fûts d’orgueil d’un giseme… de ma fidélité ou lait ruiné de ma…
N’apaisons pas le jour et sortons… le guet-apens s’ouvre le long d’un… ne fais pas attention aux chenille… à délivrer l’espace où se hérissen… Rêve n’apaisons pas
Tout ce qui d’anse s’est agglutiné… tout ce qu’il y a de soleil en rés… sous-marine Si tu voulais les tétrodons à la dérive iraient…
Le temps que le sénateur s’aperçut que la torna… assise dans son assiette et la tornade ét… Kansas-City
contre tout ce qui pèse valeur de… contre le sortilège mauvais notre arme ne peut être que le pieu flambé de midi à crever
Je t’évoque bananier pathétique agitant mon cœ… dans le jour psalmodiant je t’évoque vieux hougan des montagnes sourdes…
là où l’aventure garde les yeux cl… là où les femmes rayonnent de lang… là où la mort est belle dans la ma… là où le souterrain cueille de sa… là où la merveille agile fait flèc…
au pied de volcans bègues plus tôt que le petit brouillard v… de ma fièvre je suis assis au mili… horologue de trois siècles accumul… de chauves-souris
Combien de fleuves de montagnes de… de désastres penser combien de siè… les forêts parole due : l’enlisement s’enroule seul le dur…