Poésies posthumes (1888)
#ÉcrivainsFrançais
Jamais, avez-vous dit, tandis qu’a… Résonnait de Schubert la plaintiv… Jamais, avez-vous dit, tandis que,… Brillait de vos grands yeux l’azur… Jamais, répétiez-vous, pâle et d’u…
Jusqu’à présent, lecteur, suivant… Je te disais bonjour à la première… Mon livre, cette fois, se ferme mo… En vérité, ce siècle est un mauvai… Tout s’en va, les plaisirs et les…
Déesse aux yeux d’azur, aux épaule… Belle muse païenne au sourire ador… Viens, laisse-moi presser de ma lè… Ton front qui resplendit sous un p… Vois-tu ce vert sentier qui mène à…
Beau chevalier qui partez pour la… Qu’allez-vous faire Si loin d’ici ? Voyez-vous pas que la nuit est pro… Et que le monde
Je vis d’abord sur moi des fantôme… Traîner de longs habits ; Je ne sais si c’étaient des femmes… Leurs manteaux m’inondaient avec l… De nacre et de rubis.
Ballade. La corde nue et maigre, Grelottant sous le froid Beffroi, Criait d’une voix aigre
Sonnet. Que j’aime le premier frisson d’hi… Sous le pied du chasseur, refusant… Quand vient la pie aux champs que… Au fond du vieux château s’éveille…
Sonnet. Quand, par un jour de pluie, un oi… Jette au hasard un cri dans un che… Au fond des bois fleuris, dans son… Le rossignol pensif a parfois répo…
Assez dormir, ma belle ! Ta cavale isabelle Hennit sous tes balcons. Vois tes piqueurs alertes, Et sur leurs manches vertes
Sonnet. Vous les regrettiez presque en me… Ces vers, beaux comme un rêve et p… Ce malheureux garçon, disiez-vous… Va se croire obligé de me répondre…
Stances Sans doute il est trop tard pour p… Depuis qu’elle n’est plus quinze j… Et dans ce pays-ci quinze jours, j… Font d’une mort récente une vieill…
Oui, femmes, quoi qu’on puisse dir… Vous avez le fatal pouvoir De nous jeter par un sourire Dans l’ivresse ou le désespoir. Oui, deux mots, le silence même,
L’empereur vit, un soir, le soleil… Il courba son front triste, et res… Puis, comme il entendit ses horlog… Qu’il venait d’accorder, d’un pied… Il pensa qu’autrefois, sans avoir…
On me demande, par les rues, Pourquoi je vais bayant aux grues, Fumant mon cigare au soleil, À quoi se passe ma jeunesse, Et depuis trois ans de paresse
Prince, les assassins consacrent t… Ils forcent Dieu lui-même à nous… Par droit d’élection tu régnais su… La balle et le poignard te font un… De ceux dont le hasard couronna la…