Poésies posthumes (1888)
#ÉcrivainsFrançais
Sonnet. C’est mon avis qu’en route on s’ex… Au vent, à la poussière, et qu’on… S’éveiller chiffonnée avec un mauv… Et qu’à la longue, en poste, un tê…
Dans mes jours de malheur, Alfred… Tu m’es resté fidèle où tant d’aut… Le bonheur m’a prêté plus d’un lie… Mais c’est l’adversité qui m’a fai… C’est ainsi que les fleurs sur les…
Le carnaval s’en va, les roses von… Sur les flancs des coteaux déjà co… Cependant du plaisir la frileuse s… Sous ses grelots légers rit et vol… Tandis que, soulevant les voiles d…
Pépa, quand la nuit est venue, Que ta mère t’a dit adieu ; Que sous ta lampe, à demie nue, Tu t’inclines pour prier Dieu ; A cette heure où l’âme inquiète
De ta source pure et limpide Réveille-toi, fleuve argenté ; Porte trois mots, coursier rapide… Amour, patrie et liberté ! Quelle voile, au vent déployée,
Assez dormir, ma belle ! Ta cavale isabelle Hennit sous tes balcons. Vois tes piqueurs alertes, Et sur leurs manches vertes
Voltaire, ombre auguste et suprême… Roi des madrigaux à la crème Des vermillons et des paniers Assis au pied de ta statue, Je me disais : « Qu’est devenue
Te voilà revenu, dans mes nuits ét… Bel ange aux yeux d’azur, aux paup… Amour, mon bien suprême, et que j’… J’ai cru, pendant trois ans, te va… Et toi, les yeux en pleurs, avec t…
C’était, dans la nuit brune, Sur le clocher jauni, La lune Comme un point sur un i. Lune, quel esprit sombre
J’étais seul, l’autre soir, au Th… Ou presque seul ; l’auteur n’avait… Ce n’était que Molière, et nous s… Que ce grand maladroit, qui fit un… Ignora le bel art de chatouiller l…
Lorsque le grand Byron allait qui… Et chercher sur les mers quelque p… Où finir en héros son immortel enn… Comme il était assis aux pieds de… Pâle, et déjà tourné du côté de la…
Il ne faudrait pourtant, me disais… Qu’une permission de notre seigneu… Pour qu’il vînt à passer quelque f… Les bosquets sont déserts ; la cha… Les vents sont à l’amour l’horizon…
(Le soir de la première représenta… Ma pièce est jeune, et je suis vie… Enfants, je n’en suis pas la cause… Vous nous jouerez bien autre chose… Et tout aussi bien, mais pas mieux…
Tant que mon pauvre cœur, encor pl… A ses illusions n’aura pas dit adi… Je voudrais m’en tenir à l’antique… Qui du sobre Épicure a fait un dem… Je voudrais vivre, aimer, m’accout…
Elle a mis, depuis que je l’aime (Bien longtemps, peut-être toujour… Bien des robes, jamais la même ; Palmire a dû compter les jours. Mais, quand vous êtes revenue,