Fables, Livre IV (1812)
#ÉcrivainsFrançais
Fable IV, Livre IV. À mes enfants. Du printemps la fille vermeille, La rose ne vit qu’un moment, Dont le papillon et l’abeille
Fable VII, Livre III. « Au diable soient les étourdis Qui m’ont fait une horrible tache… Qu’ai-je dit, une ? en voilà dix ; Et c’est à mon velours pistache !…
Fable II, Livre II. Penses-y deux fois, je t’en prie ; À jeun, mal chaussé, mal vêtu, Pauvre diable ! comment peux-tu Sur un billet de loterie
Fable VIII, Livre IV. Pour complaire aux goûts innocents Des grands et des petits enfants, De pauvres baladins allaient de fo… Représentant les faits les plus in…
Fable VIII, Livre I. Quoi ! je ne me vengerais pas De cette maudite vipère ! Disait un lézard a son père. Pourquoi fuirais-je les combats ?
Faire l’aumône à son prochain C’est un précepte évangélique : Belle Églé, votre belle main Va, dit-on, le mettre en pratique. Excusez ma sincérité :
Fable XII, Livre I. Un médisant accusait les échos. Un médisant !....... Je le ménage… Le ciel, disait-il dans sa rage, Puisse-t-il les punir de leurs mau…
Fable XV, Livre I. Pauvre Turc ! qu’il est bon ! le… S’écriait un enfant en promenant s… Sur un dogue enchaîné qui, dit-on,… Impunément le laissait faire.
Sans craindre qu’un rival contre m… Je suis le souverain de tout ce qu… De l’une à l’autre rive, et les ai… Sont peuplés des sujets de mon pai… Toi que du sage a trop vanté l’amo…
À Madame ***. La rose humide et vierge encore, Que l’aube embellit de ses pleurs, N’est pas plus fraîche que les fle… Que votre pinceau fait éclore.
Fable XV, Livre V. « Je préfère un bon cœur à tout l’… Et d’amis à deux pieds je me passe… Disait certain monsieur qui vit av… Dans une retraite profonde.
En vérité, je suis jaloux De ces vers où l’amour respire : Le peindre aussi bien qu’on l’insp… Cela ne fut donné qu’à vous. Moi qui voudrais savoir vous plair…
Fable XIV, Livre IV. « L’excellente caricature ! » Disait un jeune coq en riant aux é… Un chapon, malgré l’aventure Qui l’oblige au moins gai de tous…
Souvent cette trame grossière Qu’ourdit la main du tisserand Se transforme en tapis brillant Sous les jolis doigts de Glycère. Le chanvre obscur a disparu,
Fable V, Livre V. On ne supporte qu’à moitié Le poids des misères humaines, Quand le ciel accorde à nos peines Les tendres soins de l’amitié.