Fables, Livre IV (1812)
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Fable XII, Livre V. LA LOUVE. Rarement à changer on gagne. Pourquoi veux-tu courir les champs… Crois-moi, reste sur la montagne.
Fable IX, Livre I. Voilà nos champs bien préparés, Bien engraissés, bien labourés ; Ensemençons sans plus attendre. Mon fils, ne perds pas un moment :
Fable VIII, Livre I. Quoi ! je ne me vengerais pas De cette maudite vipère ! Disait un lézard a son père. Pourquoi fuirais-je les combats ?
Un jour entier peut-on bouder ! Cela passerait raillerie. Si j’ai cherché la brouillerie, C’était pour le plaisir de nous ra… Pour notre utilité commune,
Fable XVI, Livre I. On admirait l’oiseau de Jupiter, Qui déployant ses vastes ailes, Aussi rapide que l’éclair, Remontait vers son maître aux voût…
Fable IX, Livre II. Au temps où les bêtes parlaient Non pas hier pourtant, un grave pe… Un dindon, le Nestor des dindons… Elevait quinze enfants, qui tous l…
Fable XVIII, Livre II. Tandis que sa main droite achevait… Certain professeur en peinture Gourmandait sa main gauche, et dis… T’a fait là, pauvre peintre ! un a…
Fable XVI, Livre IV. « Demande-t-on la bouche pleine ?… Disait ma femme à son marmot : « Fi ! qu’il est laid ! fi ! qu’il… Il n’aura plus rien pour sa peine.…
Fable IV, Livre II. Dans l’Olympe on s’ennuie.—Y pens… —Oui, Messieurs ; oui, j’y pense,… Dans l’Olympe on s’ennuie, ainsi… Qui souffrent peu le mot pour rire…
Fable X, Livre IV. « Ma sœur, vois-tu là-bas, là-bas, Vois-tu ce tourbillon s’élever sur… Comme il grossit ! vers nous comme… Que nous annonce-t-il ? un carross…
Fable VI, Livre III. Pendant mille ans et plus, Jupite… C’était justice : alors il portait… Il était immortel : dans les cieux… La pluie et le beau temps, et la p…
En vérité, je suis jaloux De ces vers où l’amour respire : Le peindre aussi bien qu’on l’insp… Cela ne fut donné qu’à vous. Moi qui voudrais savoir vous plair…
À M. Plasschaert. Qui, e… À l’auteur de La Feuille... en Eu… Auteur aimable autant qu’utile, Votre livre m’est parvenu ;
À Mademoiselle Contat. Vos doigts de rose ont déchiré Le crêpe étendu sur ma vie ; Par vous, belle et sensible amie, De mes fers je suis délivré.
Fable IV, Livre V. Mes bons amis, je dois en convenir… Je n’imaginais pas qu’un mort pût… Que bien empaqueté, soit dans cett… Des humains du commun la retraite…