"Derniers vers (1872)"
#LesPoètesMaudits #XIXeSiècle #ÉcrivainsFrançais
Quand le front de l’enfant, plein… Implore l’essaim blanc des rêves i… Il vient près de son lit deux gran… Avec de frêles doigts aux ongles a… Elles assoient l’enfant auprès d’u…
Noirs de loupes, grêlés, les yeux… Vertes, leurs doigts boulus crispé… Le sinciput plaqué de hargnosités… Comme les floraisons lépreuses des… Ils ont greffé dans des amours épi…
LUI.– Ta poitrine sur ma poitrin… Hein ? nous irions, Ayant de l’air plein la narine, Aux frais rayons Du bon matin bleu, qui vous baigne
Plates-bandes d’amarantes jusqu’à L’agréable palais de Jupiter. —Je sais que c’est Toi qui, dans… Mêles ton bleu presque de Sahara… Puis, comme rose et sapin du solei…
La réalité étant trop épineuse pour mon grand caractère,—je me trouvai néanmoins chez ma dame, en gros oiseau gris bleu s’essorant vers les moulures du plafond et traînant l’aile dans l...
La chambre est pleine d’ombre ; on… De deux enfants le triste et doux… Leur front se penche, encore alour… Sous le long rideau blanc qui trem… —Au dehors les oiseaux se rapproch…
Je vis assis, tel qu’un ange aux m… Empoignant une chope à fortes cann… L’hypogastre et le col cambrés, un… Aux dents, sous l’air gonflé d’imp… Tels que les excréments chauds d’u…
Ainsi, toujours, vers l’azur noir Où tremble la mer des topazes, Fonctionneront dans ton soir Les Lys, ces clystères d’extases… À notre époque de sagous,
L’hiver, nous irons dans un petit… Avec des coussins bleus. Nous serons bien. Un nid de baise… Dans chaque coin moelleux. Tu fermeras l’oeil, pour ne point…
1. LES PARENTS Nous sommes tes Grands-Parents, Les Grands ! Couverts des froides sueurs De la lune et des verdures.
Quelqu’une des voix Toujours angélique —Il s’agit de moi, - Vertement s’explique : Ces mille questions
Un hydrolat lacrymal lave Les cieux vert-chou Sous l’arbre tendronnier qui bave, Vos caoutchoucs Blancs de lunes particulières
Zut alors, si le soleil quitte ces… Fuis, clair déluge ! Voici l’ombr… Dans les saules, dans la vieille c… L’orage d’abord jette ses larges g… Ô cent agneaux, de l’idylle soldat…
Est-elle almée ?... aux premières… Se détruira-t-elle comme les fleur… Devant la splendide étendue où l’o… Souffler la ville énormément flori… C’est trop beau ! c’est trop beau…
La chambre est ouverte au ciel ble… Pas de place : des coffrets et des… Dehors le mur est plein d’aristolo… Où vibrent les gencives des lutins… Que ce sont bien intrigues de géni…