"Derniers vers (1872)"
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Sur la place taillée en mesquines… Square où tout est correct, les ar… Tous les bourgeois poussifs qu’étr… Portent, les jeudis soirs, leurs b… —L’orchestre militaire, au milieu…
Ma faim, Anne, Anne, Fuis sur ton âne. Si j’ai du goût, ce n’est guères Que pour la terre et les pierres. Dinn ! dinn ! dinn ! dinn ! Mange…
C’est un large buffet sculpté ; le… Très vieux, a pris cet air si bon… Le buffet est ouvert, et verse dan… Comme un flot de vin vieux, des pa… Tout plein, c’est un fouillis de v…
Quand le front de l’enfant, plein… Implore l’essaim blanc des rêves i… Il vient près de son lit deux gran… Avec de frêles doigts aux ongles a… Elles assoient l’enfant auprès d’u…
L’homme pâle, le long des pelouses… Chemine, en habit noir, et le ciga… L’Homme pâle repense aux fleurs d… —Et parfois son oeil terne a des r… Car l’Empereur est soûl de ses vi…
Qu’est-ce pour nous, mon coeur, qu… Et de braise, et mille meurtres, e… De rage, sanglots de tout enfer re… Tout ordre ; et l’Aquilon encor s… Et toute vengeance ? Rien !...– M…
Dans la salle à manger brune, que… Une odeur de vernis et de fruits,… Je ramassais un plat de je ne sais… Belge, et je m’épatais dans mon im… En mangeant, j’écoutais l’horloge,…
Ô saisons ô châteaux, Quelle âme est sans défauts ? Ô saisons, ô châteaux, J’ai fait la magique étude Du Bonheur, que nul n’élude.
Le bras sur un marteau gigantesque… D’ivresse et de grandeur, le front… Comme un clairon d’airain, avec to… Et prenant ce gros-là dans son reg… Le Forgeron parlait à Louis Seiz…
À quatre heures du matin, l’été, Le sommeil d’amour dure encore. Sous les bosquets l’aube évapore L’odeur du soir fêté. Mais là-bas dans l’immense chantie…
Je m’en allais, les poings dans me… Mon paletot aussi devenait idéal ; J’allais sous le ciel, Muse ! et… Oh ! là ! là ! que d’amours splend… Mon unique culotte avait un large…
Tandis que les crachats rouges de… Sifflent tout le jour par l’infini… Qu’écarlates ou verts, près du Ro… Croulent les bataillons en masse d… Tandis qu’une folie épouvantable b…
Tisonnant, tisonnant son coeur amo… Sa chaste robe noire, heureux, la… Un jour qu’il s’en allait, effroya… Jaune, bavant la foi de sa bouche… Un jour qu’il s’en allait, “ Orem…
Parqués entre des bancs de chêne,… Qu’attiédit puamment leur souffle,… Vers le choeur ruisselant d’orrie… Aux vingt gueules gueulant les can… Comme un parfum de pain humant l’o…
Comme d’un cercueil vert en fer bl… De femme à cheveux bruns fortement… D’une vieille baignoire émerge, le… Avec des déficits assez mal ravaud… Puis le col gras et gris, les larg…