#ÉcrivainsFrançais
Le voilà, ce vieux môle où j’errai… Ainsi grondaient alors les rafales… Quand aux pâles clartés des fanaux… Si tristes à minuit, Le flux, en s’abattant pour envahi…
rightRome, villa Paolina. Non, tu ne connais pas encor Ce sentiment d’ivresse et de mélan… Qu’inspire d’un beau jour la splen… Toi qui n’as pas vu les flots d’or…
Silence au camp ! La vierge est p… Par un injuste arrêt Bedfort croi… Jeune encore, elle touche à son he… Silence au camp ! La vierge va pé… Des pontifes divins, vendus à la p…
J’admirais ses débris, ses longs portiques sombres, Tous ces grands monuments empruntaient de leurs ombres « Rome, pour la dernière fois « Je parcours ta funèbre enceinte : « Inspire le...
La sainte vérité qui m’échauffe et… Écarte et foule aux pieds les voil… Ma muse de nos maux flétrira les a… Dussé-je voir briser ma lyre Par le glaive insolent de nos libé…
Que la brise des mers te porte mes… O France, je te quitte ; adieu, F… Adieu, doux ciel natal, terre où j… Adieu, patrie ! adieu, patrie ! Il tombe, ce mistral, dont le souf…
Mon bien-aimé, dans mes douleurs, Je viens de la cité des pleurs, Pour vous demander des prières. Vous me disiez, penché vers moi : « Si je vis, je prîrai pour toi. »
Toi, qui n’as rien connu, dans ton sanglant passage, Dieu mortel, sous tes pieds les monts courbant leurs têtes Et, debout sur l’airain de leurs foudres guerrières, « Conservez, disaien...
Nos malheurs trop fameux proclament ta puissance ; Tes jeux furent sanglans dans notre belle France ; Le peuple mieux instruit, mais trop fier de ses droits, C’est qu’ils ne vivent plus...
Sachez envelopper, selon la conven… D’un petit conte aimable, une grav… Il faut d’un peu de miel, avec dex… Couvrir les bords du vase où l’on… Le Tasse nous l’a dit, et ces fou…
Ils ne sont plus, laissez en paix… Par d’injustes clameurs ces braves… À se justifier n’ont pas voulu des… Mais un seul jour les a vengés : Ils sont tous morts pour vous défe…
Comme un vain rêve du matin, Un parfum vague, un bruit lointain… C’est je ne sais quoi d’incertain Que cet empire ; Lieux qu’à peine vient éclairer
« Le soleil a paru : sa clarté men… Du fer des boucliers jaillit en lo… Les guerriers sont debout, immobil… Ils pressent de leurs dents leur l… Tous, pleins d’un vague effroi qu’…
Le flot qui vient blanchir les restes du port Jule Couvre de ses flancs noirs les pointes de Misène ; « Ils parlent à mes yeux, ils enchaînent mes pas. « Ces lentisques flétris dont la ...
A vous, puissans du monde, à vous,… Qui tenez dans vos mains et la pai… À vous de décider si lassés de sou… Les grecs ont pris le fer pour vai… Si du Tage au Volga, de la Tamis…