#ÉcrivainsFrançais
O femme, que veux-tu ? – Parthéno… –Quel est ton crime ? – Aucun. –… –Quels sont tes ennemis ? – Ceux… Hier on m’adorait, aujourd’hui l’o… –Comment dois-tu payer mon hospita…
De Messène au cercueil fille augu… Muse des grands revers et des nobl… Désertant ton berceau, tu pleuras… Comme la Grèce alors la France ét… De Messène au cercueil fille augu…
Ils ne sont plus, laissez en paix… Par d’injustes clameurs ces braves… À se justifier n’ont pas voulu des… Mais un seul jour les a vengés : Ils sont tous morts pour vous défe…
Par les flots balancée, une barque… Hier m’avait porté sur ce vaste va… Qui fatiguait le golfe et sa vaine… D’un inébranlable fardeau. Ses longs mâts dans les deux monta…
Que la brise des mers te porte mes… O France, je te quitte ; adieu, F… Adieu, doux ciel natal, terre où j… Adieu, patrie ! adieu, patrie ! Il tombe, ce mistral, dont le souf…
Comme un vain rêve du matin, Un parfum vague, un bruit lointain… C’est je ne sais quoi d’incertain Que cet empire ; Lieux qu’à peine vient éclairer
Nos malheurs trop fameux proclament ta puissance ; Tes jeux furent sanglans dans notre belle France ; Le peuple mieux instruit, mais trop fier de ses droits, C’est qu’ils ne vivent plus...
Silence au camp ! La vierge est p… Par un injuste arrêt Bedfort croi… Jeune encore, elle touche à son he… Silence au camp ! La vierge va pé… Des pontifes divins, vendus à la p…
Non, tu n’es pas un aigle, ont cri… Quand son vol faible encor trompai… Et déjà sur le dos de ces monstres… Du bec vengeur de l’aigle il impri… Puis, le front dans les cieux de l…
J’admirais ses débris, ses longs portiques sombres, Tous ces grands monuments empruntaient de leurs ombres « Rome, pour la dernière fois « Je parcours ta funèbre enceinte : « Inspire le...
Vénus, ô volupté des mortels et de… Ame de tout ce qui respire, Tu gouvernes la terre, et les mers… Tout l’univers reconnaît ton empir… Des êtres différens les germes pré…
« Le soleil a paru : sa clarté men… Du fer des boucliers jaillit en lo… Les guerriers sont debout, immobil… Ils pressent de leurs dents leur l… Tous, pleins d’un vague effroi qu’…
Le flot qui vient blanchir les restes du port Jule Couvre de ses flancs noirs les pointes de Misène ; « Ils parlent à mes yeux, ils enchaînent mes pas. « Ces lentisques flétris dont la ...
Sachez envelopper, selon la conven… D’un petit conte aimable, une grav… Il faut d’un peu de miel, avec dex… Couvrir les bords du vase où l’on… Le Tasse nous l’a dit, et ces fou…
« Tu nous rends nos derniers signa… Le long du bord le câble crie ; L’ancre s’élève et sort des eaux ; La voile s’ouvre ; adieu, patrie ! « Des flots l’un par l’autre heurt…