Genèse
En moi s’est réveillé, le démon des marées,
Celui toujours à l’heure, pour te sortir des fleurs,
Un rythme quotidien, l’oubli du lendemain,
Bat toi pour ce que t’as, bâti ta propre arme,
Construit ton bataillon, avant de toucher l’fond,
Tu ne gagnes face au temps, une tortue au printemps,
Assis sur tes acquis, entraîne toi ou péri,
Fatigue ton esprit, à ne plus fuir la pluie,
Cour au fond d’l’océan, vie du désert aride,
Renforce ta vision, éclaircie tes passions,
Qu’en toi tous ces démons, forment une grande table ronde.
Autour de ton esprit, celui tant réfléchi,
Créer dans la caverne, pourquoi caché sous terre,
Ce si grand combattant, ne peut croître lentement,
Il a besoin d’action, de chacun des démons,
Dresser le panthéon, sur ces sombres fondations,
Éclater au matin, une note un opéra,
Jusqu’à atteindre la fin, bien mieux qu’un cinéma.
Il a atteint le ciel, entouré de vipères,
Plus vaste qu’un océan, contre ces démons d’argent,
Qui face à la lumière, ne souhaitent que le remède.
Ils chercheront longtemps, ces anges aux ailes de sang,
Sensibles à la douleur, dans leur bulle extérieur,
Alors que la lueur, se trouve à l’intérieur.
Regarde l’amour est là, où tu diriges ta foie,
Apprécie l’ennemi, comme ton meilleur ami.
Alors tu connaîtras, la paix des réels sages.
