Odelettes (1853)
#ÉcrivainsFrançais
Au fond des ténèbres, Dans ces lieux funèbres, Combattons le sort : Et pour la vengeance, Tous d’intelligence,
Sur un air grec. Le matin n’est plus ! le soir pas… Pourtant de nos yeux l’éclair a pâ… Mais le soir vermeil ressemble à l… Et la nuit plus tard amène l’oubli…
Petit piqueton de Mareuil, Plus clairet qu’un vin d’Argenteu… Que ta saveur est souveraine ! Les Romains ne t’ont pas compris Lorsqu’habitant l’ancien Paris
On ne sait pas toujours où va port… Et bien des souverains, maladroits… En laissent retomber le coupant su… ... Que d’ennuis sur un front la main…
Au milieu de la mer qui sépare deu… Un rocher presque nu s’élève sur l… Et son sinistre aspect remplit l’â… C’est là que tant de gloire est pa… Et l’on y voit un nom, une croix,…
Vous avez des yeux noirs, et vous… Que le poète en vous voit luire l’… Dont s’anime la force et que nous… Le génie à son tour embrase toute… Il vous rend sa lumière, et vous ê…
Par mon amour et ma constance, J’avais cru fléchir ta rigueur, Et le souffle de l’espérance Avait pénétré dans mon coeur ; Mais le temps, qu’en vain je prolo…
La Treizième revient... C’est enc… Et c’est toujours la seule,—ou c’e… Car es-tu reine, ô toi ! la premiè… Es-tu roi, toi le seul ou le derni… Aimez qui vous aima du berceau dan…
Napoléon mourant vit une Tête arm… Il pensait à son fils déjà faible… La Tête, c’était donc sa France b… Décapitée aux pieds du César expi… Dieu, qui jugeait cet homme et cet…
Dieu est mort ! le ciel est vide..… Pleurez ! enfants, vous n’avez plu… Jean Paul . Quand le Seigneur, levant au ciel… Sous les arbres sacrés, comme font…
Il est un air pour qui je donnerai… Tout Rossini, tout Mozart et tout… Un air très-vieux, languissant et… Qui pour moi seul a des charmes se… Or, chaque fois que je viens à l’e…
Ce ruisseau, dont l’onde tremblant… Réfléchit la clarté des cieux, Paraît dans sa course brillante Étinceler de mille feux ; Tandis qu’au fond du lit paisible,
En partant de Baden, j’avais d’ab… Que par monsieur Éloi, que par mon… Je pourrais, attendant des fortune… Aller prendre ma place au bateau d… Ce qui m’avait conduit, plein d’un…
Au sein des vastes mers, un aride… Contre qui vient mugir la colère d… Se hérisse de rocs, effroi des mat… Du Corse belliqueux c’est le rédu… Là naguère le Sort, allumant un f…
Le temps, comme un torrent, roule… Rien n’échappe à l’effort de ses f… En vain quelques vieillards, sur l… Derniers et seuls débris qui reste… Roidissant contre lui leur effort…