#ÉcrivainsFrançais
Breton sont restés et le temps, ce qu’on appelle et interpelle le temps, n’a rien à voir ni à entendre là-dehors ou là-dedans. Jean est surréaliste, peu importe ou exporte depuis quand....
La nuit chasse le jour qui pourcha… Ombres sans nombre Nombres sans ombre A l’infini Au pas cadencé
Dans sa vie pré-natale une grand’mère de contes de fées l’appelait la petite Russe. Mais elle est née pour de vrai à Pékin en 1939, un an avant la naissance de Pierrot, son fils. Toute ...
Dans douze châteaux acquis pour douze bouchées de pain douze hommes sanglotent de haine dans douze salles de bains Ils ont reçu le mauvais câble
Une boutique, un petit magasin, une baraque foraine, un temple, un igloo, les coulisses d’un théâtre, un musée de cire et de rêves, un salon de lecture et parfois une librairie toute si...
Noyé dans les grandes eaux de la m… Qui suintent horriblement Le long des murs de sa chambre sor… Un mourant Livide abandonné et condamné
Lèvent Debout S’assoit Sur les tuiles du toit
Vampire de Cochon celui qui aime… Celui qui mange de tout peut se no… Charniers et abattoirs ossuaires et reposoirs grands pères grand’messes des mort…
En Afrique, il existe beaucoup d’antilopes ; ce sont des animaux charmants et très rapides à la course. Les habitants de l’Afrique sont les hommes noirs, mais il y a aussi des hommes bl...
Un terrassier ivre de joie de vivre, tout simplement, danse sur un trottoir. Il fait beau, c’est le soir et le goût du bonheur et le désir d’amour lui font oublier l’heure. Est-ce sa je...
On croit que c’est facile de ne ri… Ah ! du matin au soir je ne faisais rien rien
Depuis toujours toute la nuit la nuit a rendez-vous avec le jour Mais chaque nuit depuis toujours
Tristes enfants perdus Nous errons dans la nuit. Où sont les fleurs du jour, Les plaisirs de l’amour. Les lumières de la vie ?
c’est un évêque qui est saoul et qui met sa crosse en il a sur la tête cette coiffure qu’on appelle mitre des préservatifs... des bouchons de liège... des mégots plaçant ensuite deux do...
C’est la convalescence des vacance… Entre l’arbre du bien et du mal et l’écorce terrestre le doigt de Dieu est resté coincé