Un dimanche matin, mettant la vest… Les garçons, montrant nus les musc… Jouent aux boules, ou bien, corps… L’un, entouré d’enfants, se façonn… Et leur dit, abaissant et relevant…

Vous m’êtes chers, cyprès du Nord… Malgré votre feuillage habité des… Car vous me rappelez d’autres cypr… Mes cyprès odorants dont la forme… Vos frères du Midi, tout l’horizo…

A dos d’âne, on gravit la montagne… Un chemin large, plein de rocs et… Entre des buissons verts, sous un… L’ânière en grand chapeau pousse l… Dont le pas routinier vous berce s…

De tout temps mes amours furent de… Je n’ai causé tout bas qu’aux nymp… Et, sur le bord des mers, ces sirè… Me font seules vibrer aux accords… Mon âme est fiancée à l’humble sol…

Ce vent, qui jette aux flots les g… Pour sortir de son outre avec de l… Brusquement, sans attendre aucun o… Lors il souffle par trois, par six… Car Trois étant sacré pour les di…

Lorsque mai va finir, quand juin b… Il faut voir les troupeaux de la b… Redoutant la saison où sèchent les… Où la plaine déserte apparaîtra sa… Et jaune de soleil et d’herbes des…

Paris en Juin. L’été débute par l… Et, rouvrant ma croisée à l’aube,… De voir le ciel toujours brouillé… Sous mes yeux assoupis rien de ble… C’est la rue et la fange, au mois…

L’un dit que nier Dieu, c’est ne… Cet homme ne sait pas sanctifier l… Et, lâchement, il a du Mal suivi… Car c’est un sentier rude et serré… Du moins, humble pécheur, le timid…

Ils sont deux. Un enfant, tout ra… Et marche à pas comptés, fier de p… Un bâton que couronne un cercle ho… Où l’on a suspendu des choses en m… Montre et couvert, et puis des éch…

Ô précurseur naïf et doux de l’Éva… Poète aimant, vieux maître immorte… J’étais encore enfant quand sous l… J’ai respiré la brume et les broui… L’école m’enfermait, triste comme…

« On sait mieux le français au pay… Éloignons cet enfant de nous, se d… Il faut que les garçons apprennent… Et l’on m’envoya loin, à Mâcon, a… Oh ! comme je pleurais là-bas, pau…

Cœur naïf ! j’avais cru pouvoir à… Dévoiler mes douleurs comme en fac… Et trouver pour mon âme une âme, Une seule parmi la foule des humai… Un inconnu qui vînt me prendre les…

Le Gapeau chantait une chanson fo… De joie et d’amours ; Son onde tordait sur l’arène molle Mille et un détours ; Et moi j’allais, triste, avec l’âm…

La ville c’est le port, où tout s’… Où la voile gaîment revient se rep… Le quai, seuil de la mer et seuil… Première marche, sûre et large, du… Venez là, sur ce quai : là, vous v…

On carguait lentement les lourdes… Qui poussaient le vaisseau sous le… Et l’Occident brisait ses flèches… Sur leurs rondeurs s’offrant comme… Derrière nous l’effroi de l’infini…