Les jeunes croyances (1867)
#ÉcrivainsFrançais
Février. Le blé monte aux tiédeur… En hiver nos midis sont des matins… Mais parfois méchamment, aux heure… Un souffle d’hiver glace Avril ép… Il sent alors que tout s’est trop…
Je regrette les vieux vaisseaux do… Large et lourde, pendait du faîte… Et leurs pesants rouleaux de toile… Faisait fléchir l’antenne à l’imme… La marche du meilleur navire était…
Nice, trop petite naguère, S’agrandit, libre de tout mur, Ni port marchand, ni port de guerr… Toute blanche au bord de l’azur. Nice a pour orgueil d’être blanche
Que dis-tu ? Que fais-tu là-bas,… Écris-moi plus souvent encore, je… Je suis dans un torrent de bruit.… Je veille, je dors mal ; j’écris,… Dans l’immense Paris, sans trêve…
La grand’messe chantée, en pompe l… Fait porter sous le porche un sain… Vieux buste aux yeux d’émail, à fi… Posé sur un brancard au tapis écar… Le vicaire l’assiste et deux enfan…
Tu croîs dans ma Provence, ô divi… L’hiver, sur les coteaux que le fl… On abrite tes plants comme on cach… Tes tiges en avril jaillissent sur… Et quand les blés sont mûrs, aux m…
La nuit vient d’effacer les formes… Mon cœur, plein de cette ombre où… Soupire, tout chargé de tristesse… D’où vient ce triste espoir, nuits… Sous le ciel constellé le vent du…
La ville c’est le port, où tout s’… Où la voile gaîment revient se rep… Le quai, seuil de la mer et seuil… Première marche, sûre et large, du… Venez là, sur ce quai : là, vous v…
Vraie image du vrai poète, Tous les soirs, mon petit grillon, Tu nous chantais ta chansonnette Parmi les fleurs de ce balcon. Tu voulais, pour parler, cette heu…
J’ai, toute cette nuit, ferme et t… Écrit, rêvé,... c’est bien, et je… Je suis content de moi ! La nuit… C’est l’aurore ; mes yeux voient m… Puissé-je ainsi, penché sur l’exis…
« Holà, voisin ! ma vigne est mûre… Aidez-nous, et demain, notre venda… Nous irons vous aider de même à no… C’est pourquoi le coteau, dès la p… Est plein d’éclats de rire et de c…
Ce vent, qui jette aux flots les g… Pour sortir de son outre avec de l… Brusquement, sans attendre aucun o… Lors il souffle par trois, par six… Car Trois étant sacré pour les di…
La forge retentit de longs fracas… Tout hurle, tout gémit, et, dans l… Sous le soufflet robuste un noir b… Est le naissant foyer du splendide… La machine à vapeur, rauque, siffl…
Ô précurseur naïf et doux de l’Éva… Poète aimant, vieux maître immorte… J’étais encore enfant quand sous l… J’ai respiré la brume et les broui… L’école m’enfermait, triste comme…
Puisque la vérité sublime Vous embrase d’un saint désir Et vous pousse à combler l’abîme Que notre siècle doit franchir ; Puisque le beau nom de justice