#XXeSiècle #ÉcrivainsFrançais
C’est permis de fumer. Gare L’Écuyère de Médrano quand tu fumes ton cigare Saute à travers les anneaux.
Tes mains jonchant les draps étaie… Mon automne aimait ton été. Le vent du souvenir faisait claque… Des lieux où nous avons été. Je te laissais mentir ton sommeil…
Mauvaise compagne, espèce de morte… De quels corridors, De quels corridors pousses-tu la p… Dès que tu t’endors ? Je te vois quitter ta figure close…
Le tour du monde était un bien pau… À côté du voyage où je pars avec t… Chaque jour je t’adore et mieux et… Où tu vis c’est mon toit.
Que la vie est ennuyeuse à cinq heures et demie de ce petit matin en berne Les dianes contagieuses se propagent dans les casernes
Bouche grave des lions Sourire sinueux des jeunes crocodi… Au fil d’eau du fleuve charriant des millions Iles d’épices
Un menteur ne sait plus ce qu’il a… Rire, il ne l’ose pas—si le rire l… Il craint de s’endormir près de ce… Sa paresse l’oblige à travailler l… J’ai connu des menteurs qui se ven…
Avec en lui déjà l’affreux désir q… Pour avoir découvert la tendre ago… Cachant ses traits fanés sous le m… Sous le mensonge exquis de sa rian… Pour avoir respiré, sur ses canaux…
L’amour est une science Et de toi j’ai tout appris Et j’écoute ton silence Que je n’avais pas compris. T’ai-je mal aimé cher ange !
Tu ne laisserais pas faire le moin… Aux animaux que tu rencontres dans… Mais tu peux torturer comme un pau… Celle par qui la chance un jour t’… Tes griefs sont si longs si courts…
Soleil je t’adore comme les sauvag… à plat ventre sur le rivage Soleil tu vernis tes chromos tes paniers de fruits, tes animaux Fais-moi le corps tanné, salé,
Cent ans j’avais dormi. Vint le p… Il était gai, naïf, infaillible, é… Mais il m’a réveillé de ce sommeil… Je ne peux pas dire comment.
Hélas ! vais-je à présent me plain… Et voir, près de Charon, La mort, indifférente à telles cir… Qui la décideront. Elle vit. Elle attend. Ce n’est p…
Ne réveillez pas Dieu, il dort Profondément, c’est moi son rêve..… Le réveiller serait ma mort.