#XXeSiècle #ÉcrivainsFrançais
Le tour du monde était un bien pau… À côté du voyage où je pars avec t… Chaque jour je t’adore et mieux et… Où tu vis c’est mon toit.
Il est des cris plaintifs qui se t… Mordus entre les dents, avortés su… Des fards astucieux masquant l’ard… Et des corps moribonds sous la fra… La douleur nous fait honte en nous…
Tu ne laisserais pas faire le moin… Aux animaux que tu rencontres dans… Mais tu peux torturer comme un pau… Celle par qui la chance un jour t’… Tes griefs sont si longs si courts…
Tu écartes dans tous les sens tes… Soleil du soir, cerisier en fleurs… Voici de mars en nous que déferlen… Embruns d’amour inconnus sur les d… Ici ne furent semés qu’hommes bleu…
Soyons courageux, soyons fous, Jamais aucune économie Jamais se demander jusqu’où, La sagesse est une momie.
Horizontalement tombe Le marcheur qui ne s’en doute Droite est la mauvaise route De la naissance à la tombe. Il n’est d’aube ni de soir
Je me dis que je dois me taire Qu’il ne faut pas d’amour t’accabl… Hélas, empêche-t-on de sortir de l… Les marbres grecs et les blés ?
Bouche grave des lions Sourire sinueux des jeunes crocodi… Au fil d’eau du fleuve charriant des millions Iles d’épices
Il était une fois un roi qui, d’un… Faisait couler, bondir et voltiger… C’est à peine s’il connaissait que… Il était doux, naïf, et ne savait… Et sous ses doigts vibraient d’har…
Tes mains jonchant les draps étaie… Mon automne aimait ton été. Le vent du souvenir faisait claque… Des lieux où nous avons été. Je te laissais mentir ton sommeil…
Le bruit de l’aéro se fane à la de… La voix du ciel nouveau, toupie O Orion module Dans le matin chargé d’émotion de… Ma cour sonore
Ne vous balancez pas si fort Le ciel est à tout le monde Marin d’eau douce la nuit profonde Se moque de vos ancres d’or Et boit debout en silence
Vieux monde où j’ai vécu tu pars t… Tu disparais hélas Mais je ferme les yeux et retrouve… Peintes sur nos atlas. Un nouveau monde arrive et votera…
Il allait en silence au milieu des… Il feignait d’être sourd à l’unani… Il souriait avec des lèvres défris… Un bandeau noir ceignait les boucl… Et je lui demandai : « Jeune homm…
Ah ! Jeannot je chante, je chante Pour t’avoir le même demain Car la vie a l’air trop méchante Sans la caresse de ta main.