#XXeSiècle #ÉcrivainsFrançais
Bouche grave des lions Sourire sinueux des jeunes crocodi… Au fil d’eau du fleuve charriant des millions Iles d’épices
Anna vous m’aimez bien et je vous… Que de choses nous éloignent en ap… Mais si les jeunes gens savaient q… Pour dépolir entre nous la transpa… On vous a tout ôté ; à moi aussi,
Vieux monde où j’ai vécu tu pars t… Tu disparais hélas Mais je ferme les yeux et retrouve… Peintes sur nos atlas. Un nouveau monde arrive et votera…
Ne m’interrogez plus. Interrogez… Dont je suis le valet ; Mais ne les croyez point ni belles… À qui leur semble laid. Toujours toutes en train de fondre…
Un menteur ne sait plus ce qu’il a… Rire, il ne l’ose pas—si le rire l… Il craint de s’endormir près de ce… Sa paresse l’oblige à travailler l… J’ai connu des menteurs qui se ven…
Notre entrelacs d’amour à des lett… Sur un arbre se mélangeant ; Et, sur ce lit, nos corps s’entort… Comme à ton nom le nom de Jean. Croiriez-vous point, ô mer, reconn…
Ah ! Jeannot je chante, je chante Pour t’avoir le même demain Car la vie a l’air trop méchante Sans la caresse de ta main.
Je me dis que je dois me taire Qu’il ne faut pas d’amour t’accabl… Hélas, empêche-t-on de sortir de l… Les marbres grecs et les blés ?
Je dis : tu n’auras qu’un poème Et voilà que j’en glisse deux L’un pour te répéter : « Je t’aim… L’autre : « Je suis ton amoureux…
Soyons courageux, soyons fous, Jamais aucune économie Jamais se demander jusqu’où, La sagesse est une momie.
Soleil je t’adore comme les sauvag… à plat ventre sur le rivage Soleil tu vernis tes chromos tes paniers de fruits, tes animaux Fais-moi le corps tanné, salé,
Un voile clair, un voile épais Recouvre notre destinée Mais l’étoile qui nous est née Demeure une étoile de paix. Peuvent-ils nous mentir, les astre…
Tu ne laisserais pas faire le moin… Aux animaux que tu rencontres dans… Mais tu peux torturer comme un pau… Celle par qui la chance un jour t’… Tes griefs sont si longs si courts…
Mauvaise compagne, espèce de morte… De quels corridors, De quels corridors pousses-tu la p… Dès que tu t’endors ? Je te vois quitter ta figure close…
Je n’aime pas dormir quand ta figu… La nuit, contre mon cou ; Car je pense à la mort laquelle vi… Nous endormir beaucoup. Je mourrai, tu vivras et c’est ce…