Romances (1830)
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Comme une fleur à plaisir effeuill… Pâlit, tombe et s’efface une brill… Ivre de toi, je rêvais le bonheur… Je rêvais, tu m’as éveillée. Que ce réveil va me coûter de pleu…
Avec ta gente mie, Où vas-tu, troubadour ? » «—Je vais à ma patrie Demander un beau jour. Salut, rive enchantée,
N’entend-elle jamais une voix me d… Un conseil attendri rappeler son d… Une larme furtive, un feu sous cet… Un reproche d’en haut lui crier :… Moi, je n’y peux courir : sa clame…
Ah ! c… Enfin ! et cette voix qui parle es… Pourquoi le sort mit-il mes jours… J’ai tant besoin de vous pour oubl… Victor Hugo .
Ma demeure est haute, Donnant sur les cieux ; La lune en est l’hôte, Pâle et sérieux : En bas que l’on sonne,
Ah ! c… De pouvoir vivre ainsi loin de l’o… André Chénier. Malheur à moi ! je ne sais plus lu… Je ne suis plus le charme de ses y…
Quand je me sens mourir du poids d… Quand sur moi tout mon sort assemb… D’un courage inutile affranchie et… Je me sauve avec toi dans le fond… Tu grondes ma tristesse, et, trist…
Je suis la prière qui passe Sur la terre où rien n’est à moi ; Je suis le ramier dans l’espace, Amour, où je cherche après toi. Effleurant la route féconde,
« Pélerine, où vas-tu si tard ? Le temps est à l’orage. Peux-tu confier au hasard Tes charmes et ton âge ? » «—Ermite, n’ayez point de peur,
Les rumeurs du jardin disent qu’il… Tout tressaille, averti de la proc… Et toi qui ne lis plus, sur ton li… Plaints-tu l’absent aimé qui ne po… Là-bas, plaint son aile et mouillé…
Qu’est-ce donc qui me trouble, et… Je suis triste à la ville, et m’en… Les plaisirs de mon âge Ne peuvent me sauver de la longueu… Autrefois l’amitié, les charmes de…
Hirondelle ! hirondelle ! hirondel… Est-il au monde un coeur fidèle ? Ah ! s’il en est un, dis-le moi, J’irai le chercher avec toi. Sous le soleil ou le nuage,
Si ta marche attristée S’égare au fond d’un bois, Dans la feuille agitée Reconnais-tu ma voix ? Et dans la fontaine argentée,
Ils vont sans trêve ; ils vont sou… Les Fugitifs, chassés des anciens… Et toute la tribu, depuis des jour… Dans leur sillon fatal traîne ses… Ils vont, les derniers-nés des rac…
J’ai rencontré sur la terre où je… Plus d’un abîme où je tombais, sei… Lors, d’un long cri j’appelais dan… Mon Dieu, mon père, ou quelque an… Doux et penché sur l’abîme funeste…