Pauvres fleurs (1839)
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Qui, toi, mon bien-aimé, t’attache… Te parer d’une fleur que la tombe… Lier tes jours de gloire à ma trem… Et ton baiser d’amour au baiser de… Me suivre, toi si cher, aux rives…
Quand je me sens mourir du poids d… Quand sur moi tout mon sort assemb… D’un courage inutile affranchie et… Je me sauve avec toi dans le fond… Tu grondes ma tristesse, et, trist…
Lune ! Blanche figure assise à l’… Que viens-tu regarder au fond de m… Dans nos chambres, vois-tu ! La f… Sur beaucoup d’oreillers se penche… Elle entre, et bien des yeux qui p…
Savez-vous pourquoi, madame, Je refusais de vous voir ? J’aime ! Et je sens qu’une femme Des femmes craint le pouvoir. Le vôtre est tout dans vos charmes…
Quand les cloches du soir, dans le… Feront descendre l’heure au fond d… Quand tu n’auras d’amis, ni d’amou… Pense à moi ! pense à moi ! Car les cloches du soir avec leur…
« De l’ardente cigale J’eus le destin, Sa récolte frugale Fut mon festin. Mouillant mon seigle à peine
J’ai vu dans l’air passer deux ail… Est-ce pour moi que ce présage a l… J’entends chanter tout un nid dans… Trop de bonheur me menace aujourd’… Pour le braver je suis trop faible…
Ah ! c… De pouvoir vivre ainsi loin de l’o… André Chénier. Malheur à moi ! je ne sais plus lu… Je ne suis plus le charme de ses y…
Je ne veux pas dormir. Ô ma chère… Quel sommeil aurait ta douceur ? L’ivresse qu’il accorde est souven… Et la tienne est réelle, ineffable… Quel calme ajouterait au calme que…
Toi qui m’as tout repris jusqu’au… Tu m’as laissé pourtant l’aliment… L’amour ! Et ma mémoire où se nou… Je lui dois le passé ; c’est presq… C’est là que tu m’entends, c’est l…
Ô champs paternels hérissés de cha… Où glissent le soir des flots de j… Ô frais pâturage où de limpides ea… Font bondir la chèvre et chanter l… Ô terre natale ! à votre nom que j…
Seule avec toi dans ce bocage somb… Qu’y ferions-nous ? à peine on peu… Nous sommes bien ! Peux-tu désire… Pour se perdre des yeux c’est bien… Auprès de toi j’adore la lumière,
« Je vous défends, châtelaine, De courir seule au grand bois. » M’y voici, tout hors d’haleine, Et pour la seconde fois. J’aurais manqué de courage
À Mademoiselle Louise Crombach… Vous le saurez ! La vie a des abî… Cachés au loin sous d’innombrables… Les rossignols qui chantent à leur… Où chantent-ils dans la saison des…
Ce fut un jour pareil à ce beau jo… Que, pour tout perdre, incendiait… C’était un jour de charité divine Où dans l’air bleu l’éternité chem… Où dérobée à son poids étouffant