Les névroses (1883)
#ÉcrivainsFrançais
Il n’a que sa chemise écrue et sa… Pour tout costume. Il porte un bo… Tel il rôde, faisant mouliner son… Promenant l’ébahi de son regard qu… Barbu, gras et rougeaud, il montre…
Ton amour est-il pur comme les for… Berceur comme la nuit, frais comme… Est-il mystérieux comme l’éclat de… Ardent comme la flamme et long com… Lis-tu dans la nature ainsi qu’en…
Un jour que je pêchais dans sa riv… Assis contre un bouleau qui brandi… Le vieux meunier Marchois par le… Sut me distraire de la pêche : « Voyez ! j’vis seul dans c’grand…
Toc toc !—L’homme prêtant l’oreil… Hache en main, guettant scélérat, Dit : « Qu’est là ?—Moi ! » La v… D’un coup, il abattit la vieille. Depuis, hanté par les alarmes,
Voilà ce que me dit en reniflant s… Le bon vieux laboureur, guêtré de… Assis sur un des bras de sa charru… Le visage en regard du soleil roug… « Ces pauv’ bêt’ d’animaux n’compr…
Avec le masque du mensonge La parole suit son chemin, Rampe aujourd’hui, vole demain, Se raccourcit ou bien s’allonge. Elle empoigne comme une main
Sonnet. Le vieux, contre la fenêtre, Fauve, en train de ruminer, Soudain s’entend condamner Au profit de ses trois maîtres.
À ma Mère. L’Énigme désormais n’a plus rien à… J’étreins le vent qui passe et le… Et j’entends chuchoter aux lèvres… La révélation du gouffre et du mys…
Sonnet. Au creux de mon abîme où se perd t… Maintenant, jour et nuit, je vois… Amoureux élixirs de la flamme et d… Reflets changeants du spleen et de…
À Gustave Gœtschy. Pourquoi donc rougit la pucelle En face de l’adolescent ? Pourquoi ce rire languissant Et cette allure qui chancelle ?
Sonnet. L’inclinaison de ce vieux saule Sur le vieil étang soucieux Que pas une brise ne frôle, A quelque chose de pieux.
Dans sa grande jatte de grès, L’Angélique, la belle veuve, Avec sa crème toute neuve Fabrique un peu de beurre frais. Ses doigts et sa batte à loisir
Partout je les évoque et partout j… Ces yeux ensorceleurs si mortellem… Oh ! comme ils défiaient tout l’ar… Eux qui mimaient sans geste et qui… Yeux lascifs, et pourtant si noyés…
La belle en larmes Pleure l’abandon de ses charmes Dont un volage enjôleur A cueilli la fleur. Elle sanglote
Sonnet. Le soleil sur les monts s’écroule, S’empourpre, et, graduellement, Rétrécit son rayonnement, Toujours plus se ramasse en boule.