Poésies diverses (1656)
#ÉcrivainsFrançais
Le passage du Rhin. En vain, pour te louer, ma muse to… Vingt fois de la Hollande a tenté… Ce pays, où cent murs n’ont pu te… Grand roi, n’est pas en vers si fa…
Dans le palais, hier Bilain Voulait gager contre Ménage Qu’il était faux que Saint Sorlin Contre Arnauld eût fait un ouvrag… Il en a fait, j’en sais le temps,
Dans Florence, jadis, vivait un m… Savant hâbleur, dit-on, et célèbre… Lui seul y fit longtemps la publiq… Là, le fils orphelin lui redemande… Ici, le frère pleure un frère empo…
(Sur la fausse honte ou le respect… Oui, sans peine, au travers des so… Arnauld, des novateurs tu découvre… Et romps de leurs erreurs les file… Mais que sert que ta main leur des…
Grand roi, cesse de vaincre, ou je… Tu sais bien que mon style est né… Mais mon esprit, contraint de la d… Sous ton règne étonnant ne veut pl… Tantôt, dans les ardeurs de ce zèl…
(Sur les inconvénients des procès.… À quoi bon réveiller mes muses end… Pour tracer aux auteurs des règles… Penses-tu qu’aucun d’eux veuille s… Ni suivre une raison qui parle par…
(Sur les folies humaines.) D’où vient, cher Le Vayer, que l’… Croit toujours seul avoir la sages… Et qu’il n’est point de fou, qui,… Ne loge son voisin aux Petites-Ma…
Quand, la dernière fois, dans le s… La troupe des neuf sœurs, par l’or… Lut l’Iliade et l’Odyssée ; Chacune à le louer se montrant emp… Apprenez un secret qu’ignore l’uni…
Tout me fait peine, Et depuis un jour Je crois, Climène, Que j’ai de l’amour. Cette nouvelle
Racine, plains ma destinée. C’est demain la triste journée, Où le prophète Desmarets, Armé de cette même foudre Qui mit le Port-Royal en poudre,
De l’utilité des ennemis. Que tu sais bien, Racine, à l’aid… Emouvoir, étonner, ravir un specta… Jamais Iphigénie, en Aulide immol… N’a coûté tant de pleurs à la Grè…
(Écrite à l’âge de dix-sept ans.) Philosophes rêveurs, qui pensez to… Ennemis de Bacchus, rentrez dans… Vos esprits s’en font trop accroir… Allez, vieux fous, allez apprendre…
C’est en vain qu’au Parnasse un t… Pense de l’art des vers atteindre… S’il ne sent point du Ciel l’infl… Si son astre en naissant ne l’a fo… Dans son génie étroit il est toujo…
(Sur sa comédie L’école des femme… En vain mille jaloux esprits, Molière, osent avec mépris Censurer ton plus bel ouvrage : Sa charmante naïveté
(Mis en musique par Lambert en 16… Voici les lieux charmants où mon â… Passait à contempler Silvie Les tranquilles moments si douceme… Que je l’aimais alors ! Que je la…