Poésies diverses (1656)
#ÉcrivainsFrançais
(En mémoire à Arnauld.) Au pied de cet autel de structure… Gît sans pompe, enfermé dans une v… Le plus savant mortel qui jamais a… Arnauld, qui, sur la grâce instrui…
(Sur sa comédie L’école des femme… En vain mille jaloux esprits, Molière, osent avec mépris Censurer ton plus bel ouvrage : Sa charmante naïveté
Sans cesse autour de six pendules, De deux montres, de trois cadrans, Lutin, depuis trente et quatre ans… Occupe ses soins ridicules. Mais à ce métier, s’il vous plaît,
Rien n’est plus beau que le vrai. Dangereux ennemi de tout mauvais f… Seignelay, c’est en vain qu’un rid… Prêt à porter ton nom de l’Èbre ju… Croit te prendre aux filets d’une…
Rare et fameux esprit, dont la fer… Ignore en écrivant le travail et l… Pour qui tient Apollon tous ses t… Et qui sais à quel coin se marquen… Dans les combats d’esprit savant m…
(Sur la noblesse dépourvue de vert… La noblesse, Dangeau, n’est pas u… Quand, sous l’étroite loi d’une ve… Un homme issu d’un sang fécond en… Suit, comme toi, la trace où march…
Du repos des humains implacable en… J’ai rendu mille amants envieux de… Je me repais de sang, et je trouve… Dans les bras de celui qui recherc…
(Sur le portrait du P. Bourdaloue… Du plus grand orateur dont la chai… M’envoyer le portrait, illustre pr… C’est me faire un présent qui vaut… J’ai connu Bourdaloue ; et dès me…
(Écrite à l’âge de dix-sept ans.) Philosophes rêveurs, qui pensez to… Ennemis de Bacchus, rentrez dans… Vos esprits s’en font trop accroir… Allez, vieux fous, allez apprendre…
Quand, la dernière fois, dans le s… La troupe des neuf sœurs, par l’or… Lut l’Iliade et l’Odyssée ; Chacune à le louer se montrant emp… Apprenez un secret qu’ignore l’uni…
Qui frappe l’air, bon Dieu ! de c… Est-ce donc pour veiller qu’on se… Et quel fâcheux démon, durant les… Rassemble ici les chats de toutes… J’ai beau sauter du lit, plein de…
(Sur les folies humaines.) D’où vient, cher Le Vayer, que l’… Croit toujours seul avoir la sages… Et qu’il n’est point de fou, qui,… Ne loge son voisin aux Petites-Ma…
De la connaissance de soi-même. Esprit né pour la cour, et maître… Guilleragues, qui sais et parler e… Apprends-moi si je dois ou me tair… Faut-il dans la satire encor me si…
(Mis en musique par Lambert en 16… Voici les lieux charmants où mon â… Passait à contempler Silvie Les tranquilles moments si douceme… Que je l’aimais alors ! Que je la…
(Vers pour mettre en bas du portra… Ce greffier doux et pacifique De ses enfants au sang critique N’eut point le talent redouté : Mais, fameux par sa probité,