Poésies diverses (1653)
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Laborieux valet du plus commode ma… Qui pour te rendre heureux ici-bas… Antoine, gouverneur de mon jardin… Qui diriges chez moi l’if et le ch… Et sur mes espaliers, industrieux…
Tout me fait peine, Et depuis un jour Je crois, Climène, Que j’ai de l’amour. Cette nouvelle
(Vers pour mettre en bas du portra… De Paris à Dehli, du couchant à l… Ce fameux voyageur courut plus d’u… De l’Inde et de l’Hydaspe il fréq… Et sur les bords du Gange on le r…
(Mis en musique par Lambert en 16… Voici les lieux charmants où mon â… Passait à contempler Silvie Les tranquilles moments si douceme… Que je l’aimais alors ! Que je la…
De l’utilité des ennemis. Que tu sais bien, Racine, à l’aid… Emouvoir, étonner, ravir un specta… Jamais Iphigénie, en Aulide immol… N’a coûté tant de pleurs à la Grè…
(Écrite à l’âge de dix-sept ans.) Philosophes rêveurs, qui pensez to… Ennemis de Bacchus, rentrez dans… Vos esprits s’en font trop accroir… Allez, vieux fous, allez apprendre…
(Sur les inconvénients des procès.… À quoi bon réveiller mes muses end… Pour tracer aux auteurs des règles… Penses-tu qu’aucun d’eux veuille s… Ni suivre une raison qui parle par…
Le dos chargé de bois, et le corps… Un pauvre bûcheron, dans l’extrême… Marchait en haletant de peine et d… Enfin, las de souffrir, jetant là… Plutôt que de s’en voir accablé de…
(Sur la fausse honte ou le respect… Oui, sans peine, au travers des so… Arnauld, des novateurs tu découvre… Et romps de leurs erreurs les file… Mais que sert que ta main leur des…
(Sur leur impatience à paraître.) J’ai beau vous arrêter, ma remontr… Allez, partez, mes Vers, dernier… C’est trop languir chez moi dans u… La prison vous déplaît, vous cherc…
(Écrite à Bâville où était le P.… Que Bâville me semble aimable, Quand des magistrats le plus grand Permet que Bacchus à sa table Soit notre premier président !
Grand roi, cesse de vaincre, ou je… Tu sais bien que mon style est né… Mais mon esprit, contraint de la d… Sous ton règne étonnant ne veut pl… Tantôt, dans les ardeurs de ce zèl…
Qui frappe l’air, bon Dieu ! de c… Est-ce donc pour veiller qu’on se… Et quel fâcheux démon, durant les… Rassemble ici les chats de toutes… J’ai beau sauter du lit, plein de…
(Vers pour mettre en bas du portra… Ce greffier doux et pacifique De ses enfants au sang critique N’eut point le talent redouté : Mais, fameux par sa probité,
(Sur la noblesse dépourvue de vert… La noblesse, Dangeau, n’est pas u… Quand, sous l’étroite loi d’une ve… Un homme issu d’un sang fécond en… Suit, comme toi, la trace où march…