à Philippe Soupault.
"Nouveaux Poèmes"
#ÉcrivainsFrançais
Adieu ! Vaches plus précieuses Que mille bouteilles de lait, Précieuses aux jeunes qui se marie… Et dont la femme est jolie,
Trente filles au corps opaque, trente filles divinisées par l’imagination, s’approchent de l’homme qui repose dans la petite vallée de la folie. L’homme en question joue avec ferveur. I...
Tes yeux sont revenus d’un pays ar… Où nul n’a jamais su ce que c’est… Ni connu la beauté des yeux, beaut… Celle des gouttes d’eau, des perle… Des pierres nues et sans squelette…
Parfaitement éveillée et très bell… A-t-elle le pain qu’il lui faut Elle n’a que sa beauté Cet éclat perché haut comme une ét… Pourtant la terre est là
Cette bouche dure, sans larmes, Choisit les femmes Et les yeux de couleur Apprécient Toujours un peu plus de chair.
J’ai peint des terres désolées et les hommes sont fatigués de la joie toujours éloignée. J’ai peint des terres désolées où les hommes ont leurs palais.
Un aigle, sur un rocher, contemple l’horizon béat. Un aigle défend le mouvement des sphères. Couleurs douces de la charité, tristesse, lueurs sur les arbres décharnés, lyre en étoile d’...
Songe aux souffrances taillées sou… Aux petits amateurs de rivières to… Où promenade pour noyade Nous irons sans plaisir Nous irons ramer
L’homme voudrait être sorti D’un fouillis d’ailes. Très haut, le vent coule en criant Le long d’une aile. Mais la mère n’était pas là
Il pose un oiseau sur la table et… * Elle dit l’avenir. Et je suis cha… * Le cœur meurtri, l’âme endolorie,…
Un bouquet tout défait brûle les c… Et le plumage entier de la perditi… Rayonne dans la nuit et dans la me… Plus d’horizon, plus de ceinture, Les naufragés, pour la première fo…
Vivant dans un village calme D’où la route part longue et dure Pour un lieu de sang et de larmes Nous sommes purs. Les nuits sont chaudes et tranquil…
Le cœur sur l’arbre vous n’aviez q… Sourire et rire, rire et douceur d… Vaincu, vainqueur et lumineux, pur… Haut vers le ciel, avec les arbres… Au loin, geint une belle qui voudr…
Plus c’était un baiser Moins les mains sur les yeux Les halos de lumière Aux lèvres de l’horizon Et des tourbillons de sang
Je te l’ai dit pour les nuages Je te l’ai dit pour l’arbre de la… Pour chaque vague pour les oiseaux… Pour les cailloux du bruit Pour les mains familières