#ÉcrivainsFrançais
Il pose un oiseau sur la table et… * Elle dit l’avenir. Et je suis cha… * Le cœur meurtri, l’âme endolorie,…
Elle est debout sur mes paupières Et ses cheveux sont dans les miens… Elle a la forme de mes mains, Elle a la couleur de mes yeux, Elle s’engloutit dans mon ombre
La vie entièrement conquise, on po… « Les blés sont bien mûrs et la pl… Sûrs d’être heureux pour toujours,… « Ma plaine est immense et j’y boi… Le rêve viendrait, la nuit, en dor…
Si je vous dis : « j’ai tout aband… C’est qu’elle n’est pas celle de m… Je ne m’en suis jamais vanté, Ce n’est pas vrai Et la brume de fond où je me meus
Ses yeux sont des tours de lumière… Sous le front de sa nudité. À fleur de transparence Les retours de pensées Annulent les mots qui sont sourds.
Qui a votre visage ? La bonne et la mauvaise La belle imaginable Gymnastique à l’infini Dépassant en mouvements
À l’ombre des arbres Comme au temps des miracles, Au milieu des hommes Comme la plus belle femme Sans regrets, sans honte,
La petite personne noire a froid. À peine si trois lumières bougent encore, à peine si les planètes, malgré leur voilure complète, avancent en flottant : depuis trois heures il n’y a pl...
La rosée la pluie la vague la barq… La reine servante Médieuse La perle la terre Perle refusée terre consentante
La nuit plus longue et la route pl… Lampes je suis plus près de vous q… Un papillon l’oiseau d’habitude Roue brisée de ma fatigue De bonne humeur place
Suis-je autre chose que ta force ? Ta force dans tes bras, Ta tête dans tes bras, Ta force dans le ciel décomposé, Ta tête lamentable,
Caresse l’horizon de la nuit, cherche le cœur de jais que l’aube recouvre de chair. Il mettrait dans tes yeux des pensées innocentes, des flammes, des ailes et des verdures que le solei...
Nos yeux se renvoient la lumière Et la lumière le silence À ne plus se reconnaître À survivre à l’absence.
Toutes les femmes heureuses ont Retrouvé leur mari—il revient du s… Tant il apporte de chaleur. Il rit et dit bonjour tout douceme… Avant d’embrasser sa merveille.
Par un froid de papier, les écoliers du vide rougissent à travers les vitres. Un grand rideau sur la façade se gonfle de petits monstres. L’ébéniste est représenté jusqu’aux genoux. Enf...