"L'Amour la poésie"
#ÉcrivainsFrançais
J’ai peint des terres désolées et les hommes sont fatigués de la joie toujours éloignée. J’ai peint des terres désolées où les hommes ont leurs palais.
Le soir traînait des hirondelles.… Partageaient le soleil et pesaient… Comme les pas jamais lassés d’un s… Plus pâle que nature et dormant to… Le soir trainait des armes blanche…
Il dissipe le jour, Il montre aux hommes les images dé… Il enlève aux hommes la possibilit… Il est dur comme la pierre, La pierre informe,
Adieu ! Vaches plus précieuses Que mille bouteilles de lait, Précieuses aux jeunes qui se marie… Et dont la femme est jolie,
Je te regarde et le soleil grandit Il va bientôt couvrir notre journé… Éveille-toi cœur et couleur en têt… Pour dissiper les malheurs de la n… Je te regarde tout est nu
Les lumières en l’air, L’air sur un tour moitié passé, mo… Faites entrer les enfants, Tous les saluts, tous les baisers,… Autour de la bouche
L’oreille du taureau à la fenêtre Et la lumière d’aujourd’hui le pri… Sur la paille du vaincu sur l’or d… Sur la table au niveau du vin dans… L’œil qui saisit la bouche et l’em…
Les Animaux et leurs hommes Découverte dans un œuf, L’araignée n’y entrera plus.
Dans le royaume des coiffeurs, les heureux ne perdent pas tout leur temps à être mariés. Au-delà de la coquetterie des guéridons, les pattes des canards abrègent les cris d’appel des da...
Le front aux vitres comme font les… Ciel dont j’ai dépassé la nuit Plaines toutes petites dans mes ma… Dans leur double horizon inerte in… Le front aux vitres comme font les…
Sur la maison du rire Un oiseau rit dans ses ailes. Le monde est si léger Qu’il n’est plus à sa place Et si gai
Gagnerons-nous la mer avec des clo… Dans nos poches, avec le bruit de… Dans la mer, ou bien serons-nous l… D’une eau plus pure et silencieuse… L’eau se frottant les mains aiguis…
Vivant dans un village calme D’où la route part longue et dure Pour un lieu de sang et de larmes Nous sommes purs. Les nuits sont chaudes et tranquil…
L’homme s’enfuit, le cheval tombe, La porte ne peut pas s’ouvrir, L’oiseau se tait, creusez sa tombe… Le silence le fait mourir. Un papillon sur une branche
Je me lève, je suis jeune. Quand je me couche, le soir je suis vieux, je vais mourir dans la nuit. On m’enterrera demain. Et pourtant, le matin je suis jeune. Mes vêtements plus légers,...