#ÉcrivainsFrançais
Le chat s’établit dans la nuit pou… Dans l’air libre, dans la nuit, le… Et, triste, à hauteur d’homme, l’h…
Le mensonge menaçant les ruses dur… Des bouches au fond des puits des… Et des vertus subites des filets à… Les envies d’inventer d’admirables… Des faux des pièges entre les corp…
Après des années de sagesse Pendant lesquelles le monde était… Roucouler s’agit-il d’autre chose… Après avoir rivalisé rendu grâces… Plus d’une lèvre rouge avec un poi…
On ne mène pas la vache À la verdure rase et sèche, À la verdure sans caresses. L’herbe qui la reçoit Doit être douce comme un fil de so…
Elle se penche sur moi Le cœur ignorant Pour voir si je l’aime Elle a confiance elle oublie Sous les nuages de ses paupières
Rouge amoureuse Pour prendre part à ton plaisir Je me colore de douleur. J’ai vécu tu fermes les yeux Tu t’enfermes en moi
Huit heures, place du Châtelet, dans ce café où les chaises ne sont pas encore rangées, où la vaisselle opaque s’étale dans tous les coins. Je ne saurai jamais si je dors bien. Plus la ...
L’oreille du taureau à la fenêtre Et la lumière d’aujourd’hui le pri… Sur la paille du vaincu sur l’or d… Sur la table au niveau du vin dans… L’œil qui saisit la bouche et l’em…
Tourne sans reflets aux courbes sans sourires des ombres à moustaches, enregistre les murmures de la vitesse, la terreur minuscule, cherche sous des cendres froides les plus petits oise...
Le jour m’étonne et la nuit me fai… L’été me hante et l’hiver me pours… Un animal sur la neige a posé Ses pattes sur le sable ou dans la… Ses pattes venues de plus loin que…
Une seule corde une seule torche u… Étrangla DIX hommes Brûla un village Avillit un peuple La douce chatte installée dans la…
Dans quelques secondes Le peintre et son modèle Prendront la fuite. Plus de vertus Ou moins de malheurs
Dormir, la lune dans un œil et le… Un amour dans la bouche, un bel oi… Parée comme les champs, les bois,… Belle et parée comme le tour du mo… Puis à travers le paysage,
Je me suis séparé de toi Mais l’amour me précédait encore Et quand j’ai tendu les bras La douleur est venue s’y faire plu… Tout le désert à boire
Un miracle de sable fin Transperce les feuilles les fleurs Éclôt dans les fruits Et comble les ombres Tout est enfin divisé