"Poésie et vérité"
#ÉcrivainsFrançais
Le rire tenait sa bouteille À la bouche riait la mort Dans tous les lites où l’on dort Le ciel sous tous les corps sommei… Un clair ruban vert à l’oreille
Avec des yeux pareils Que tout est semblable École de nu. Tranquillement Dans un visage délié
Le désespoir n’a pas d’ailes, L’amour non plus, Pas de visage, Ne parlent pas, Je ne bouge pas,
Bouches gourmandes des couleurs Et les baisers qui les dessinent Flamme feuille l’eau langoureuse Une aile les tient dans sa paume Un rire les renverse.
Ce qui se dit : J’ai traversé la rue pour ne plus être au soleil. Il fait trop chaud, même à l’ombre. Il y a la rue, quatre étages et ma fenêtre au soleil. Une casquette sur la tête, un...
L’araignée rapide, Pieds et mains de la peur, Est arrivée. L’araignée, Heureuse de son poids,
Sous un soleil ressort du paysage Une femme s’emballe Frise son ombre avec ses jambes Et d’elle seule espère les espoirs… Je la trouve sans soupçons sans au…
Comme il fait moins froid ce soir… Et comme les étoiles brillent ! Il fera beau demain matin Dessus l’avenue de Versailles. Il fera beau...
Le petit est malade, le petit va mourir. Lui qui nous a donné la vue, qui a enfermé les obscurités dans les forêts de sapins, qui séchait les rues après l’orage. Il avait, il avait un e...
Petite table enfantine, il y a des femmes dont les yeux so… il y a des femmes graves comme les… il y a des femmes au visage pâle d’autres comme le ciel à la veille…
À quoi penses-tu ? Je pense au premier baiser que je… Baisers semblables aux paroles du… Vous êtes au service des forces in… III
Le soir traînait des hirondelles.… Partageaient le soleil et pesaient… Comme les pas jamais lassés d’un s… Plus pâle que nature et dormant to… Le soir trainait des armes blanche…
Dans quelques secondes Le peintre et son modèle Prendront la fuite. Plus de vertus Ou moins de malheurs
Le monde rit, Le monde est heureux, content et j… La bouche s’ouvre, ouvre ses ailes… Les bouches jeunes retombent, Les bouches vieilles retombent.
Ses yeux ont tout un ciel de larme… Ni ses paupières ni ses mains Ne sont une nuit suffisante Pour que la douleur s’y cache. Il ira demander