"Les Animaux et leurs hommes, les hommes et leurs animaux"
#ÉcrivainsFrançais
J’ai la beauté facile et c’est heu… Je glisse sur les toits des vents Je glisse sur le toit des mers Je suis devenue sentimentale Je ne connais plus le conducteur
Larmes des yeux, les malheurs des… Malheurs sans intérêt et larmes sa… Il ne demande rien, il n’est pas i… Il est triste en prison et triste… Il fait un triste temps, il fait u…
La rosée la pluie la vague la barq… La reine servante Médieuse La perle la terre Perle refusée terre consentante
Un bouquet tout défait brûle les c… Et le plumage entier de la perditi… Rayonne dans la nuit et dans la me… Plus d’horizon, plus de ceinture, Les naufragés, pour la première fo…
Les filets des arbres ont pris bea… Natures, Les pattes des oiseaux ont pris le… À leurs os.
Je me lève, je suis jeune. Quand je me couche, le soir je suis vieux, je vais mourir dans la nuit. On m’enterrera demain. Et pourtant, le matin je suis jeune. Mes vêtements plus légers,...
Le jour revient le jour est mainte… La terre s’ouvre et glisse et meur… Mais déjà les vivants ont accepté… Dans l’épaisseur de l’homme une ét… Et la femme soulève son enfant de…
La terre est bleue comme une orang… Jamais une erreur les mots ne ment… Ils ne vous donnent plus à chanter Au tour des baisers de s’entendre Les fous et les amours
Le front aux vitres comme font les… Ciel dont j’ai dépassé la nuit Plaines toutes petites dans mes ma… Dans leur double horizon inerte in… Le front aux vitres comme font les…
Les représentants tout-puissants d… Des yeux graves nouveaux-nés Pour supprimer la lumière L’arc de tes seins tendu par un av… Qui se souvient de tes mains
Chien chaud, Tout entier dans la voix, dans les… De ton maître, Prends la vie comme le vent, Avec ton nez.
Pour ne poser qu’un doigt dessus Le chat est bien trop grosse bête. Sa queue rejoint sa tête, Il tourne dans ce cercle Et se répond à la caresse.
Pendant qu’il est facile Et pendant qu’elle est gaie Allons nous habiller et nous désha…
Jours de lenteur, jours de pluie, Jours de miroirs brisés et d’aigui… Jours de paupières closes à l’hori… D’heures toutes semblables, jours… Mon esprit qui brillait encore sur…
Voyage du silence De mes mains à tes yeux Et dans tes cheveux Où des filles d’osier S’adossent au soleil