"Les Animaux et leurs hommes, les hommes et leurs animaux"
#ÉcrivainsFrançais
La petite personne noire a froid. À peine si trois lumières bougent encore, à peine si les planètes, malgré leur voilure complète, avancent en flottant : depuis trois heures il n’y a pl...
Ses yeux sont des tours de lumière… Sous le front de sa nudité. À fleur de transparence Les retours de pensées Annulent les mots qui sont sourds.
La vie est bien aimable. Venez à moi, si je vais à vous c’e… Les anges des bouquets dont les fl…
Mes sommets étaient à ma taille J’ai roulé dans tous mes ravins Et je suis bien certain que ma vie… Mes amours ont poussé dans un jard… Mes vérités et mes erreurs
Une brise de danses Par une route sans fin Les pas des feuilles plus rapides Les nuages cachent ton ombre. La bouche au feu d’hermine
Tu ne peux plus travailler. Rêve, Les yeux ouverts, les mains ouvert… Dans le désert, Dans le désert qui joue Avec les animaux—les inutiles.
Parfaitement éveillée et très bell… A-t-elle le pain qu’il lui faut Elle n’a que sa beauté Cet éclat perché haut comme une ét… Pourtant la terre est là
Il faut que la poule ponde : Poule avec ses fruits mûrs, Poule avec notre gain
Je t’aime pour toutes les femmes q… Je t’aime pour tous les temps où j… Pour l’odeur du grand large et l’o… Pour la neige qui fond pour les pr… Pour les animaux purs que l’homme…
Adieu ! Vaches plus précieuses Que mille bouteilles de lait, Précieuses aux jeunes qui se marie… Et dont la femme est jolie,
Ombre de neige, Cœur blanc, sang pauvre, cœur d’en… Le jour. Il y a toujours le jour du soleil… Le ciel, bras ouverts, bon accueil
Plus c’était un baiser Moins les mains sur les yeux Les halos de lumière Aux lèvres de l’horizon Et des tourbillons de sang
Bois meurtri bois perdu d’un voyag… Navire où la neige prend pied Bois d’asile bois mort où sans esp… De la mer aux miroirs crevés Un grand moment d’eau froide a sai…
Les armes du sommeil ont creusé da… Les sillons merveilleux qui sépare… À travers le diamant, toute médail… Sous le ciel éclatant, la terre es… Le visage du cœur a perdu ses coul…
Le rire tenait sa bouteille À la bouche riait la mort Dans tous les lites où l’on dort Le ciel sous tous les corps sommei… Un clair ruban vert à l’oreille