"Exemples"
#ÉcrivainsFrançais
J’ai peint des terres désolées et les hommes sont fatigués de la joie toujours éloignée. J’ai peint des terres désolées où les hommes ont leurs palais.
Rouge amoureuse Pour prendre part à ton plaisir Je me colore de douleur. J’ai vécu tu fermes les yeux Tu t’enfermes en moi
Qui a votre visage ? La bonne et la mauvaise La belle imaginable Gymnastique à l’infini Dépassant en mouvements
Avec des yeux pareils Que tout est semblable École de nu. Tranquillement Dans un visage délié
Une brise de danses Par une route sans fin Les pas des feuilles plus rapides Les nuages cachent ton ombre. La bouche au feu d’hermine
Si vous désirez la lourde chair, Arrachez les bras, les mains et le… Déchirez les branches Qui contenaient le ciel, l’espace. Et vous tombez, c’est votre poids.
Le cœur sur l’arbre vous n’aviez q… Sourire et rire, rire et douceur d… Vaincu, vainqueur et lumineux, pur… Haut vers le ciel, avec les arbres… Au loin, geint une belle qui voudr…
Amour des fantaisies permises, Du soleil, Des citrons, Du mimosa léger. Clarté des moyens employés :
Mon amour pour avoir figuré mes dé… Mis tes lèvres au ciel de tes mots… Tes baisers dans la nuit vivante Et le sillage des tes bras autour… Comme une flamme en signe de conqu…
L’homme voudrait être sorti D’un fouillis d’ailes. Très haut, le vent coule en criant Le long d’une aile. Mais la mère n’était pas là
Les lumières en l’air, L’air sur un tour moitié passé, mo… Faites entrer les enfants, Tous les saluts, tous les baisers,… Autour de la bouche
Un aigle, sur un rocher, contemple l’horizon béat. Un aigle défend le mouvement des sphères. Couleurs douces de la charité, tristesse, lueurs sur les arbres décharnés, lyre en étoile d’...
Le jour m’étonne et la nuit me fai… L’été me hante et l’hiver me pours… Un animal sur la neige a posé Ses pattes sur le sable ou dans la… Ses pattes venues de plus loin que…
Elle ne sait pas tendre des pièges Elle a les yeux sur sa beauté Si simple si simple séduire Et ce sont ses yeux qui l’enchaîne… Et c’est sur moi qu’elle s’appuie
Tourne sans reflets aux courbes sans sourires des ombres à moustaches, enregistre les murmures de la vitesse, la terreur minuscule, cherche sous des cendres froides les plus petits oise...