Tu n’es pas du tout vertueuse, Je ne suis pas du tout jaloux ! C’est de se la couler heureuse Encor le moyen le plus doux. Vive l’amour et vivent nous !

La lune est rouge au brumeux horiz… Dans un brouillard qui danse, la p… S’endort fumeuse, et la grenouille… Par les joncs verts où circule un… Les fleurs des eaux referment leur…

Je ne suis pas jaloux de ton passé… Et même je t’en aime et t’en admir… Il montre ton grand coeur et la gl… D’un amour tendre et fort autant q… Car tu n’eus peur ni de la mort ni…

Tu fus souvent cruelle, Même injuste parfois, Mais que fait, ô ma belle, Puisqu’en toi seule crois Et puisque suis ta chose.

Il faut, voyez-vous, nous pardonne… De cette façon nous serons bien he… Et si notre vie a des instants mor… Du moins nous serons, n’est-ce pas… Ô que nous mêlions, âmes soeurs qu…

Un vieux faune de terre cuite Rit au centre des boulingrins, Présageant sans doute une suite Mauvaise à ces instants sereins Qui m’ont conduit et t’ont conduit…

Et je t’attends en ce café, Comme je le fis en tant d’autres. Comme je le ferais, en outre. Pour tout le bien que tu me fais. Tu sais, parbleu ! que cela m’est

C’est l’extase langoureuse, C’est la fatigue amoureuse, C’est tous les frissons des bois Parmi l’étreinte des brises, C’est, vers les ramures grises,

Mon fils est mort. J’adore, ô mon… Je vous offre les pleurs d’un cœur… Vous châtiez bien fort et parferez… Qu’alanguissait l’amour pour une c… Vous châtiez bien fort. Mon fils…

Ayez pitié ae nous, Seigneur ! Christ, ayez pitié de nous ! Donnez-nous la victoire et l’honne… Sur l’ennemi de nous tous. Ayez pitié de nous, Seigneur.

Hélas ! je n’étais pas fait pour c… Et pour ce mépris plus forts que m… Mais pourquoi m’avoir fait cet agn… Et pourquoi m’avoir fait ce coeur… J’étais né pour plaire à toute âme…

Souvenir, souvenir, que me veux-tu… Faisait voler la grive à travers l… Et le soleil dardait un rayon mono… Sur le bois jaunissant où la bise… Nous étions seul à seule et marchi…

La saison qui s’avance Nous baille la défense D’user des us d’été, Le frisson de l’automne Déjà nous pelotonne

Parmi l’obscur champ de bataille Rôdant sans bruit sous le ciel noi… Les loups obliques font ripaille Et c’est plaisir que de les voir, Agiles, les yeux verts, aux pattes

Nous fûmes dupes, vous et moi, De manigances mutuelles, Madame, à cause de l’émoi Dont l’Été férut nos cervelles. Le Printemps avait bien un peu