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#ÉcrivainsFrançais
A José Maria de Heredia Ce poète terrible et divinement do… Plus large que Corneille et plus… Grand comme Eschyle avec ce souff… Ce Calderon mystique et mythique…
Et j’ai revu l’enfant unique : il… Que s’ouvrait dans mon coeur– la d… Celle dont la douleur plus exquise… D’une mort désirable en un jour co… La bonne flèche aiguë et sa fraîch…
Tendre, la jeune femme rousse, Que tant d’innocence émoustille, Dit à la blonde jeune fille Ces mots, tout bas, d’une voix dou… « Sève qui monte et fleur qui pous…
Vaincus, mais non domptés, exilés,… Et malgré les édits de l’Homme et… N’ont point abdiqué, crispant leur… Sur des tronçons de sceptre, et rô… Les nuages coureurs aux caprices m…
Ô Cloître Saint-Merry funèbre ! s… Je ne foule jamais votre morne pav… Sans frissonner devant les affres… Toujours ton mur en vain recrépit… Ô maison Transnonain, coin maudit,…
Ces passions qu’eux seuls nomment… Sont des amours aussi, tendres et… Avec des particularités curieuses Que n’ont pas les amours certes de… Même plus qu’elles et mieux qu’ell…
Les petits ifs du cimetière Frémissent au vent hiémal, Dans la glaciale lumière. Avec des bruits sourds qui font ma… Les croix de bois des tombes neuve…
Né l’enfant des grandes villes Et des révoltes serviles, J’ai là tout cherché, trouvé, De tout appétit rêvé. Mais, puisque rien n’en demeure,
Le « sort » fantasque qui me gâte… M’a logé cette fois, peut-être la… Et la dernière c’est la bonne—à l’… De mon rêve à ceci le réveil est b… Mais explicable par le fait d’une…
Dame souris trotte, Noire dans le gris du soir, Dame souris trotte Grise dans le noir. On sonne la cloche,
Le bonheur de saigner sur le cœur… Le besoin de pleurer bien longtemp… Le désir de parler à lui, bas à de… Le rêve de rester ensemble sans de… Le malheur d’avoir tant de belles…
Je ne veux plus aimer que ma mère… Tous les autres amours sont de com… Nécessaires qu’ils sont, ma mère s… Pourra les allumer aux coeurs qui… C’est pour Elle qu’il faut chérir…
C’est à cause du clair de la lune Que j’assume ce masque nocturne Et de Saturne penchant son urne Et de ces lunes l’une après l’une. Des romances sans paroles ont,
J’ai dit à l’esprit vain, à l’oste… L’Ilion de l’orgueil futile, le S… De la frivolité sans cœur et sans… La citadelle enfin du Faux : « Croulez, murailles
Le son du cor s’afflige vers les b… D’une douleur on veut croire orphe… Qui vient mourir au bas de la coll… Parmi la bise errant en courts abo… L’âme du loup pleure dans cette vo…