"Poèmes saturniens (1866)"
#ÉcrivainsFrançais
Après le départ des cloches Au milieu du Gloria, Dès l’heure ordinaire des vêpres On consacre les Saintes Huiles Qu’escorte ensuite un long cortège
Au bout d’un bas-côté de l’église… Contre le mur que vient baiser le… D’un long vitrail d’azur et d’or f… Le Crucifix se dresse, ineffablem… Sur sa croix peinte en vert aux ar…
Impérial, royal, sacerdotal, comme… République Française en ce Quatre… Brûlant empereur, roi, prêtre dans… Avec la danse, autour, de la grand… L’étudiant et sa guitare et sa for…
Ma douce main de maîtresse et d’am… Passe et rit sur ta chère chair en… Rit et jouit de ton jouissement. Pour la servir tu sais bien qu’ell… Et ton beau corps faut que je le d…
Vers Saint-Denis c’est bête et sa… C’est pourtant là qu’un jour j’emm… Nous étions de mauvaise humeur et… Un plat soleil d’été tartinait ses… Sur la plaine séchée ainsi qu’une…
Je devine, à travers un murmure, Le contour subtil des voix ancienn… Et dans les lueurs musiciennes, Amour pâle, une aurore future ! Et mon âme et mon coeur en délires
Le soleil du matin doucement chauf… Les seigles et les blés tout humid… Et l’azur a gardé sa fraîcheur de… L’on sort sans autre but que de so… Le long de la rivière aux vagues h…
Maintenant, au gouffre du Bonheur… Mais avant le glorieux naufrage Il faut faire à cette mer en rage Quelque sacrifice et quelque honne… Jettes-y, dans cette mer terrible,
QUEL délicieux repas Tu feras (Si les dieux te prêtent vie) Chez moi, pourvu toutefoi Qu’avec toi
Donc, ce sera par un clair jour d’… Le grand soleil, complice de ma jo… Fera, parmi le satin et la soie, Plus belle encor votre chère beaut… Le ciel tout bleu, comme une haute…
Quand même tu dirais Que tu me trahirais Si c’était ton caprice, Qu’est-ce que me ferait Ce terrible secret
Parmi l’obscur champ de bataille Rôdant sans bruit sous le ciel noi… Les loups obliques font ripaille Et c’est plaisir que de les voir, Agiles, les yeux verts, aux pattes
Dame souris trotte, Noire dans le gris du soir, Dame souris trotte Grise dans le noir. On sonne la cloche,
Pour une bonne fois séparons-nous, Très chers messieurs et si belles… Assez comme cela d’épithalames, Et puis là, nos plaisirs furent tr… Nul remords, nul regret vrai, nul…
Je suis l’Empire à la fin de la d… Qui regarde passer les grands Bar… En composant des acrostiches indol… D’un style d’or où la langueur du… L’âme seulette a mal au coeur d’un…