"Bonheur (1891)"
#ÉcrivainsFrançais
Ô Seigneur, exaucez et dictez ma p… Vous la pleine Sagesse et la tout… Vous sans cesse anxieux de mon heu… Et qui m’avez aimé de toute éterni… Car—ce bonheur terrible est tel, t…
Quinze longs jours encore et plus… Déjà ! Certes, parmi les angoisse… La plus dolente angoisse est celle… On s’écrit, on se dit que l’on s’a… D’évoquer chaque jour la voix, les…
Tu fus une grande amoureuse À ta façon, la seule bonne Puisqu’elle est tienne et que pers… Plus que toi ne fut malheureuse, Après la crise de bonheur
Le vent de l’autre nuit a jeté bas… Qui, dans le coin le plus mystérie… Souriait en bandant malignement so… Et dont l’aspect nous fit tant son… Le vent de l’autre nuit l’a jeté b…
Je suis né romantique et j’eusse é… En un frac très étroit aux boutons… Avec ma barbe en pointe et mes che… Hablant español, très loyal et trè… L’œil idoine à l’œillade et chargé…
La vindicte bourgeoise assassinait… Chinoisement, à coups d’épingle, q… Et la tempête allait plus âpre dan… D’ailleurs du seul grief, Dieu br… Pas un oui, pas un mot! L’Opinion…
Chaque coquillage incrusté Dans la grotte où nous nous aimâme… A sa particularité. L’un a la pourpre de nos âmes Dérobée au sang de nos coeurs
La tristesse, langueur du corps hu… M’attendrissent, me fléchissent, m… Ah ! surtout quand des sommeils no… Quand les draps zèbrent la peau, f… Et que mièvre dans la fièvre du de…
Entends les pompes qui font Le cri des chats. Des sifflets viennent et vont Comme en pourchas. Ah, dans ces tristes décors
Il pleure dans mon cœur Comme il pleut sur la ville ; Quelle est cette langueur Qui pénètre mon cœur ? Ô bruit doux de la pluie
Le tréteau qu’un orchestre emphati… Grince sous les grands pieds du ma… Qui harangue non sans finesse et s… Les badauds piétinant devant lui d… Le plâtre de son front et le fard…
Qu’en dis-tu, voyageur, des pays e… Du moins as-tu cueilli l’ennui, pu… Toi que voilà fumant de maussades… Noir, projetant une ombre absurde… Tes yeux sont aussi morts depuis l…
L’ombre des arbres dans la rivière… Meurt comme de la fumée, Tandis qu’en l’air, parmi les ramu… Se plaignent les tourterelles. Combien, ô voyageur, ce paysage bl…
La sainte, ta patronne, est surtou… Dans nos pays du Nord et toute la… Dont je suis à demi, la Lorraine… Elle fut courageuse et douce et mo… Et martyre. Or il faut lui brûler…
Allez, enfants de nos entrailles,… À tous qui souffririons de vous sa… Ou pas assez, allez, vaincus ou tr… Et revenez ou mourez... Tels sont… Nos accents, pourtant doux, si dou…