"Bonheur (1891)"
#ÉcrivainsFrançais
L’amitié, mais entre homme et femm… Elle n’empêche rien, aussi bien de… Nécessaires, et sous les mieux séa… Abrite les secrets aimables qu’on… Nous mettrions chacun du nôtre, el…
Toute grâce et toutes nuances Dans l’éclat doux de ses seize ans… Elle a la candeur des enfances Et les manèges innocents. Ses yeux, qui sont les yeux d’un a…
Et l’enfant répondit, pâmée Sous la fourmillante caresse De sa pantelante maîtresse : « Je me meurs, ô ma bien-aimée ! « Je me meurs : ta gorge enflammée
Or, malgré ta cruauté Affectée, et l’air très faux De sale méchanceté Dont, bête, tu te prévaux J’aime ta lasciveté !
L’incroyable, l’unique horreur de… Quand l’offense et le tort ont eu… Est un royal effort qui peut faire… Pour le souci de plaire et le soin… L’orgueil, qu’il faut, se doit pré…
Je ne suis pas jaloux de ton passé… Et même je t’en aime et t’en admir… Il montre ton grand coeur et la gl… D’un amour tendre et fort autant q… Car tu n’eus peur ni de la mort ni…
(À Villiers de l’Isle-Adam) Dans un palais, soie et or, dans… De beaux démons, des satans adoles… Au son d’une musique mahométane, Font litière aux Sept Péchés de l…
Le Point-du-Jour avec Paris au l… Des chants, des tirs, les femmes q… La Seine claire et la foule qui f… Sur ce poème un vague essai de cha… On danse aussi, car tout est dans…
La misère et le mauvais œil, Soit dit sans le calomnier, Ont fait à ce monstre d’orgueil Une âme de vieux prisonnier. Oui, jettatore, oui, le dernier
Tu fus une grande amoureuse À ta façon, la seule bonne Puisqu’elle est tienne et que pers… Plus que toi ne fut malheureuse, Après la crise de bonheur
Or, tu n’es pas vaincu, sinon par… Oppose au siècle un front de coura… Bande ton coeur moins faible au fo… Ne cherche, en fait d’abri, que l’… Ceins, sinon l’innocence, hélas !…
Le soleil du matin doucement chauf… Les seigles et les blés tout humid… Et l’azur a gardé sa fraîcheur de… L’on sort sans autre but que de so… Le long de la rivière aux vagues h…
Ô triste, triste était mon âme À cause, à cause d’une femme. Je ne me suis pas consolé Bien que mon cœur s’en soit allé. Bien que mon cœur, bien que mon âm…
Entends les pompes qui font Le cri des chats. Des sifflets viennent et vont Comme en pourchas. Ah, dans ces tristes décors
Mon Dieu m’a dit : Mon fils, il f… Mon flanc percé, mon cœur qui rayo… Et mes pieds offensés que Madelei… De larmes, et mes bras douloureux… De tes péchés, et mes mains ! Et…