"Romances sans paroles (1874)"
#ÉcrivainsFrançais
La vindicte bourgeoise assassinait… Chinoisement, à coups d’épingle, q… Et la tempête allait plus âpre dan… D’ailleurs du seul grief, Dieu br… Pas un oui, pas un mot! L’Opinion…
Ah oui, la question d’argent ! Celle de te voir pleine d’aise Dans une robe qui te plaise, Sans trop de ruse ou d’entregent : Celle d’adorer ton caprice
Les courses furent intrépides (Comme aujourd’hui le repos pèse !… Par les steamers et les rapides. (Que me veut cet at home obèse ?) Nous allions,—vous en souvient-il,
Les violons mêlaient leur rire au… Et le bal tournoyait quand je la v… Avec ses cheveux blonds jouant sur… De son oreille où mon Désir comme… S’élançait et voulait lui parler s…
L’une avait quinze ans, l’autre en… Toutes deux dormaient dans la même… C’était par un soir très lourd de… Frêles, des yeux bleus, des rougeu… Chacune a quitté, pour se mettre à…
Guerrière, militaire et virile en… La sainte Chasteté que Dieu voit… De toutes les vertus marchant dans… Après la Charité distante presque… Va d’un pas assuré mieux qu’aucune…
Petit Jésus qu’il nous faut être, Si nous voulons voir Dieu le Père… Accordez-nous d’alors renaître En purs bébés, nus, sans repaire Qu’une étable, et sans compagnie
Telle qu’un moissonneur, dont l’av… Abat le frais bleuet, comme le dur… Telle qu’un plomb cruel qui, dans… Siffle, et, fendant les airs, vous… Telle l’affreuse mort sur un drago…
Toutes les amours de la terre Laissant au cœur du délétère Et de l’affreusement amer, Fraternelles et conjugales, Paternelles et filiales,
La « grande ville ». Un tas criar… Où rage le soleil comme en pays co… Tous les vices ont leur tanière, l… Et les hideux, dans ce désert de p… Des odeurs ! Des bruits vains ! O…
L’imagination, reine, Tient ses ailes étendues, Mais la robe qu’elle traîne A des lourdeurs éperdues. Cependant que la Pensée,
C’est la fête du blé, c’est la fêt… Aux chers lieux d’autrefois revus… Tout bruit, la nature et l’homme,… De lumière si blanc que les ombres… L’or des pailles s’effondre au vol…
Ce fut bizarre et Satan dut rire. Ce jour d’été m’avait tout soûlé. Quelle chanteuse impossible à dire Et tout ce qu’elle a débagoulé ! Ce piano dans trop de fumée
La misère et le mauvais œil, Soit dit sans le calomnier, Ont fait à ce monstre d’orgueil Une âme de vieux prisonnier. Oui, jettatore, oui, le dernier
Comme l’Église est bonne en ce siè… D’orgueil et d’avarice et de tous… D’exalter aujourd’hui le caché des… Le doux entre les doux à l’ignoran… Et le mortifié sans pair que la F…