Pour être en vain tes beaux soleil… Non pour ravir leur divine étincel… Contre le roc de ta rigueur cruell… Amour m’attache à mille clous d’ai… En lieu d’un aigle, un soin cruell…

Quenouille, de Pallas la compagne… Cher présent que je porte à ma chè… Afin de soulager l’ennui qu’elle a… Disant quelque chanson en filant d… Faisant pirouetter, à son huys amu…

Ma petite colombelle, Ma mignonne toute belle, Mon petit œil, baisez-moi ; D’une bouche toute pleine De musc, chassez-moi la peine

Marie, vous avez la joue aussi ver… Qu’une rose de mai, vous avez les… De couleur de châtaigne, entrefris… Gentement tortillés tout autour de… Quand vous étiez petite, une migna…

Ma petite Nymphe Macée, Plus blanche qu’ivoire taillé, Plus blanche que neige amassée. Plus blanche que le lait caillé, Ton beau teint ressemble les lis

Douce Maîtresse, touche, Pour soulager mon mal, Ma bouche de ta bouche Plus rouge que coral ; Que mon col soit pressé

La lune est coutumière De naître tous les mois : Mais quand notre lumière Est éteinte une fois, Sans nos yeux réveiller,

Ces liens d’or, cette bouche verme… Pleine de lis, de roses et d’oeill… Et ces coraux chastement vermeille… Et cette joue à l’Aurore pareille… Ces mains, ce col, ce front, et ce…

Dans le serein de sa jumelle flamm… Je vis Amour, qui son arc débanda… Et sur mon cœur le brandon épandai… Qui des plus froids les moelles en… Puis çà puis là près les yeux de m…

Couché sous tes ombrages verts, Gastine, je te chante Autant que les Grecs, par leurs v… La forêt d’Érymanthe : Car, malin, celer je ne puis

À la sœur d’Astrée. Printemps, fils du Soleil, que la… De la fertile humeur d’une douce r… Au milieu des œillets et des roses… Quand Flore entre ses bras nourri…

Je voudrais être Ixion et Tantale… Dessus la roue et dans les eaux là… Et nu à nu presser entre mes bras Cette beauté qui les anges égale. S’ainsi était, toute peine fatale

Une beauté de quinze ans enfantine… Un or frisé de maint crêpe anelet, Un front de rose, un teint damoise… Un ris qui l’âme aux Astres achem… Une vertu de telles beautés digne,

Quiconque a peint Amour, il fut i… Non le faisant enfant chargé de tr… Non luy chargeant les mains de fla… Mais bien d’un double crespe envel… Amour hait la clarté, le jour m’es…

J’ai l’esprit tout ennuyé D’avoir trop étudié Les phénomènes d’Arate ; Il est temps que je m’ébatte Et que j’aille aux champs jouer.